Nouvel élément accablant pour l’administration Trump dans l’affaire de l’ingérence présumée russe dans l’élection américaine de 2016. Le New Yrok Times affirme, lundi 10 juillet, que le fils aîné du président américain a rencontré en juin dernier une avocate proche du Kremlin.
Cette réunion, à laquelle Jared Kushner, le gendre du président, a également pris part, devait permettre à Donald Trump junior d’obtenir « des informations embarrassantes » sur la rivale démocrate de son père, Hillary Clinton, selon le quotidien.
Le fils de Donald Trump a confirmé, dans un communiqué, avoir rencontré une avocate russe, Natalia Veselnitskaya, qui avait dit « avoir des informations sur des personnes liées à la Russie qui finançaient le Comité national démocrate et qui soutenaient Mme Clinton ».
« Aucune information intéressante »
Mais selon lui, « il est très vite apparu qu’elle n’avait aucune information intéressante » mais que l’avocate avait comme objectif d’évoquer l’adoption d’enfants russes par des couples américains dans le cadre d’un programme suspendu par le président russe Vladimir Poutine.
Ces nouvelles révélations surviennent après que le président américain s’est exprimé à plusieurs reprises sur Twitter sur cette affaire. Il a notamment assuré avoir « fermement interrogé le président Poutine à deux reprises sur son intervention dans [l’] élection ». Le président russe a « catégoriquement nié. J’ai déjà donné mon opinion ».
Donald Trump a également indiqué dimanche sur Twitter avoir évoqué avec Vladimir Poutine la création d’une « unité de cybersécurité impénétrable », apparemment conjointe aux États-Unis et à la Russie, avant d’écarter cette idée dans un autre tweet.
Cette réunion, à laquelle Jared Kushner, le gendre du président, a également pris part, devait permettre à Donald Trump junior d’obtenir « des informations embarrassantes » sur la rivale démocrate de son père, Hillary Clinton, selon le quotidien.
Le fils de Donald Trump a confirmé, dans un communiqué, avoir rencontré une avocate russe, Natalia Veselnitskaya, qui avait dit « avoir des informations sur des personnes liées à la Russie qui finançaient le Comité national démocrate et qui soutenaient Mme Clinton ».
« Aucune information intéressante »
Mais selon lui, « il est très vite apparu qu’elle n’avait aucune information intéressante » mais que l’avocate avait comme objectif d’évoquer l’adoption d’enfants russes par des couples américains dans le cadre d’un programme suspendu par le président russe Vladimir Poutine.
Ces nouvelles révélations surviennent après que le président américain s’est exprimé à plusieurs reprises sur Twitter sur cette affaire. Il a notamment assuré avoir « fermement interrogé le président Poutine à deux reprises sur son intervention dans [l’] élection ». Le président russe a « catégoriquement nié. J’ai déjà donné mon opinion ».
Donald Trump a également indiqué dimanche sur Twitter avoir évoqué avec Vladimir Poutine la création d’une « unité de cybersécurité impénétrable », apparemment conjointe aux États-Unis et à la Russie, avant d’écarter cette idée dans un autre tweet.