Un président de la République élu pour 5 ans renouvelables une fois. C’est cela le souhait des camarades de Moustapha Niasse. Ces derniers l’ont fait savoir, hier, lors de la réunion du bureau politique de leur formation.
Dr Malick Diop, porte-parole du jour a plaidé pour un «oui» massif, le 20 mars prochain. Lequel permettra d’avoir «une Constitution verrouillée». C’est pourquoi l’Afp (Alliance des forces de progrès) a lancé un appel pour le référendum pour des «réformes et propositions consolidantes», informe Rewmi Quotidien.
La journal, dans sa livraison de ce vendredi 19 février 2016, a souligné que lors de cette rencontre, l’Afp a fait la genèse de la procédure et le président de l’Assemblée nationale (Moustapha Niasse) a été consulté comme en dispose l’article 51 de la Constitution. Et il a approuvé les 15 points soumis par le Chef de l’Etat et a relevé des éléments importants qui font évoluer une démocratie comme des droits civiques, le pouvoir de l’Assemblée nationale, le statut de l’opposition etc.».
Ainsi les progressistes ont constaté, selon ledit quotidien, qu’il «y a des écueils concernant cette volonté de ramener le mandat présidentiel de 7 ans à 5 ans. Il y a beaucoup de discours politiciens qui tendent à souscrire les propositions en un point : la durée du mandat. (…). L’Afp s’est donc prononcée sur les valeurs d’éthique dans la gestion des affaires de l’Etat», a confié Dr Malick Diop.
En outre, le bureau politique a été, selon le porte-parole du jour, l’occasion pour revenir sur les argumentaires comme le fait de suivre ou de ne pas suivre les avis du Conseil constitutionnel. Selo l'Afp, en suivant la décision du Conseil constitutionnel, cela permet de rappeler qu’il y a une séparation des pouvoirs
Dr Malick Diop, porte-parole du jour a plaidé pour un «oui» massif, le 20 mars prochain. Lequel permettra d’avoir «une Constitution verrouillée». C’est pourquoi l’Afp (Alliance des forces de progrès) a lancé un appel pour le référendum pour des «réformes et propositions consolidantes», informe Rewmi Quotidien.
La journal, dans sa livraison de ce vendredi 19 février 2016, a souligné que lors de cette rencontre, l’Afp a fait la genèse de la procédure et le président de l’Assemblée nationale (Moustapha Niasse) a été consulté comme en dispose l’article 51 de la Constitution. Et il a approuvé les 15 points soumis par le Chef de l’Etat et a relevé des éléments importants qui font évoluer une démocratie comme des droits civiques, le pouvoir de l’Assemblée nationale, le statut de l’opposition etc.».
Ainsi les progressistes ont constaté, selon ledit quotidien, qu’il «y a des écueils concernant cette volonté de ramener le mandat présidentiel de 7 ans à 5 ans. Il y a beaucoup de discours politiciens qui tendent à souscrire les propositions en un point : la durée du mandat. (…). L’Afp s’est donc prononcée sur les valeurs d’éthique dans la gestion des affaires de l’Etat», a confié Dr Malick Diop.
En outre, le bureau politique a été, selon le porte-parole du jour, l’occasion pour revenir sur les argumentaires comme le fait de suivre ou de ne pas suivre les avis du Conseil constitutionnel. Selo l'Afp, en suivant la décision du Conseil constitutionnel, cela permet de rappeler qu’il y a une séparation des pouvoirs