Parmi les innovations annoncées par le Président de la République, celle qui semble le plus retenir l’attention est la restauration du quinquennat pour le mandat présidentiel, y compris la question de l’applicabilité immédiate de la réduction à cinq ans du mandat de sept ans en cours.
Toute chose qui suppose une réduction de son mandat en cours et que cette révision doit en tout état de cause se tenir en 2016 même si le Président de la République s’est gardé de préciser la date exacte de la tenue de cette révision constitutionnelle. Par ailleurs, il a annoncé le renforcement des droits de l’opposition et de son Chef ; la représentation des Sénégalais de l’extérieur par des députés à eux dédiés ; l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale en matière de contrôle de l’action gouvernementale et d’évaluation des politiques publiques ; la soumission au Conseil constitutionnel des lois organiques pour contrôle de constitutionnalité avant leur promulgation ; l’augmentation du nombre des membres du Conseil constitutionnel de 5 à 7 ; la désignation par le Président de l’Assemblée nationale de 2 des 7 membres du Conseil constitutionnel; l’élargissement des compétences du Conseil constitutionnel pour donner des avis et connaître des exceptions d’inconstitutionnalité soulevées devant la Cour d’Appel ; la constitutionnalisation des principes de la décentralisation et de la déconcentration; l’intangibilité des dispositions relatives à la forme républicaine, la laïcité, le caractère indivisible, démocratique et décentralisé de l’Etat, le mode d’élection, la durée et le nombre de mandats consécutifs du Président de la République.
Toute chose qui suppose une réduction de son mandat en cours et que cette révision doit en tout état de cause se tenir en 2016 même si le Président de la République s’est gardé de préciser la date exacte de la tenue de cette révision constitutionnelle. Par ailleurs, il a annoncé le renforcement des droits de l’opposition et de son Chef ; la représentation des Sénégalais de l’extérieur par des députés à eux dédiés ; l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale en matière de contrôle de l’action gouvernementale et d’évaluation des politiques publiques ; la soumission au Conseil constitutionnel des lois organiques pour contrôle de constitutionnalité avant leur promulgation ; l’augmentation du nombre des membres du Conseil constitutionnel de 5 à 7 ; la désignation par le Président de l’Assemblée nationale de 2 des 7 membres du Conseil constitutionnel; l’élargissement des compétences du Conseil constitutionnel pour donner des avis et connaître des exceptions d’inconstitutionnalité soulevées devant la Cour d’Appel ; la constitutionnalisation des principes de la décentralisation et de la déconcentration; l’intangibilité des dispositions relatives à la forme républicaine, la laïcité, le caractère indivisible, démocratique et décentralisé de l’Etat, le mode d’élection, la durée et le nombre de mandats consécutifs du Président de la République.