L'Association des Juristes Africains (AJA) demande au Président de l'Union africaine de prendre toutes les dispositions idoines permettant que le recomptage des votes par la Cour Constitutionnelle se fasse avec le maximum de garantie de transparence et d'objectivité.
En effet, dans une note transmise à notre rédaction, il lance un appel pressant aux acteurs de la vie politique gabonaise pour qu'elle fasse confiance aux Instituions républicaines et aux dispositions constitutionnelles et réglementaires prévues pour organiser l'élection présidentielle et en administrer le contentieux.
« Devant la contestation violente et destructrice des résultats proclamés à la suite du scrutin du Samedi 27 Août , la société gabonaise comme l'opinion internationale sont divisées sur la conduite à adopter pour résoudre la crise. L'opposition veut le décomptage des voix par bureau de vote mais en dehors du cadre juridique prévu pour la circonstance. Le Pouvoir en place est d'accord pour le recomptage, mais effectué par la Cour Suprême conformément aux dispositions réglementaires relatives au contentieux électoral », rappelle la note.
Aussi dans le contexte conflictuel postélectoral du Gabon, la solution qui puisse garantir dans le temps la stabilité sociale ne doit pas découler de prises de positions arbitraires fondés essentiellement sur des appréciations qui peuvent varier au gré des circonstances assure l’AJA. Aussi pour conclure, elle note qu'en dehors de la loi, c'est le règne de l'arbitraire, le Droit seul peut garantir la stabilité et la souveraineté des Etats africains.
En effet, dans une note transmise à notre rédaction, il lance un appel pressant aux acteurs de la vie politique gabonaise pour qu'elle fasse confiance aux Instituions républicaines et aux dispositions constitutionnelles et réglementaires prévues pour organiser l'élection présidentielle et en administrer le contentieux.
« Devant la contestation violente et destructrice des résultats proclamés à la suite du scrutin du Samedi 27 Août , la société gabonaise comme l'opinion internationale sont divisées sur la conduite à adopter pour résoudre la crise. L'opposition veut le décomptage des voix par bureau de vote mais en dehors du cadre juridique prévu pour la circonstance. Le Pouvoir en place est d'accord pour le recomptage, mais effectué par la Cour Suprême conformément aux dispositions réglementaires relatives au contentieux électoral », rappelle la note.
Aussi dans le contexte conflictuel postélectoral du Gabon, la solution qui puisse garantir dans le temps la stabilité sociale ne doit pas découler de prises de positions arbitraires fondés essentiellement sur des appréciations qui peuvent varier au gré des circonstances assure l’AJA. Aussi pour conclure, elle note qu'en dehors de la loi, c'est le règne de l'arbitraire, le Droit seul peut garantir la stabilité et la souveraineté des Etats africains.