Le directeur général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal, Alioune Badara Diop nommé à ce poste à la survenue de la deuxième alternance de 2012, est un homme contesté. L'homme nous dit-on, multiplie scandale sur scandale et s’illustre par des manœuvres « qui ont fini de décourager la plupart de ses agents. »
L'homme est décrit « comme un nouveau riche », cela grâce aux « commissions engrangées sur les marchés attribués auprès des entreprises du secteur de l’assainissement. » Selon des documents mis à notre disposition, Alioune Badara Diop n’hésiterait pas à « orienter à sa guise, les évaluations techniques des offres reçues. »
En plus le Dg se serait illustré dans « l’accaparement de moyens de travail ». Pour preuve notre source nous révèle les « trois véhicules de fonction » que le bienheureux directeur s’est octroyé, une 4x4 Prado pour lui-même, une Citroën C6 pour son épouse et enfin une Hyundai ix35 pour ses enfants.
Ce DG continue, nous dit-on, « de percevoir des indemnités et du carburant des projets de l’office financés par les bailleurs de fonds, en dépit de la mise en œuvre du décret 2012-1314, fixant la rémunération des directeurs généraux des agences de niveau 1 par un plafonnement à cinq millions de FCFA. »
En interne pour finir, le management de l’homme est décrié. Il se distingue « par un népotisme et un clientélisme au détriment de toute rigueur professionnelle et d’équité »
L'homme est décrit « comme un nouveau riche », cela grâce aux « commissions engrangées sur les marchés attribués auprès des entreprises du secteur de l’assainissement. » Selon des documents mis à notre disposition, Alioune Badara Diop n’hésiterait pas à « orienter à sa guise, les évaluations techniques des offres reçues. »
En plus le Dg se serait illustré dans « l’accaparement de moyens de travail ». Pour preuve notre source nous révèle les « trois véhicules de fonction » que le bienheureux directeur s’est octroyé, une 4x4 Prado pour lui-même, une Citroën C6 pour son épouse et enfin une Hyundai ix35 pour ses enfants.
Ce DG continue, nous dit-on, « de percevoir des indemnités et du carburant des projets de l’office financés par les bailleurs de fonds, en dépit de la mise en œuvre du décret 2012-1314, fixant la rémunération des directeurs généraux des agences de niveau 1 par un plafonnement à cinq millions de FCFA. »
En interne pour finir, le management de l’homme est décrié. Il se distingue « par un népotisme et un clientélisme au détriment de toute rigueur professionnelle et d’équité »