Je voudrais d'abord féliciter le président sortant Abdoulaye Baldé, pour l'excellent travail qu'il a effectué à la tête de l'association des maires du Sénégal. Pendant cinq ans, il a dirigé l'association avec toutes les félicitations qui vont avec. Il a montré un esprit d'ouverture et un sens du dialogue. Ce qui lui a valu le respect de ses collègues et celui des autorités gouvernementales du Sénégal.
L'AMS est une association de droit privé qui regroupe en son sein les maires du Sénégal. Cette assemblée générale a une caractéristique particulière parce que ça coïncide avec le renouvellement du bureau qui a vu le nombre de ses membres connaître une certaine croissance de près de 70% du fait de la communalisation intégrale.
L'Ams passe de 167 à 557 membres aujourd'hui, ce qui est une augmentation considérable avec des enjeux dans le cadre de la mise en oeuvre d'une réforme territoriale, mais aussi avec des défis de maintien des acquis au niveau des associations régionales et internationales. L'Ams a rayonné dans ces associations internationales par son intelligence et par son implication dans les dossiers de défense des intérêts des collectivités locales.
La solution de l'acte III aux attentes de l'AMS
Pour cela, je crois que nous parlons le même langage. L'AMS demande plus de moyens, et justement c'est que le président de la République propose aussi. Le Chef de l'Etat comprend que pour réussir une politique de décentralisation, il faut accroître les moyens et renforcer les capacités opérationnelles, financières et techniques des collectivités locales.
C'est pour cela que depuis qu'il a été élu président de la République, il a augmenté de manière graduelle, les fonds de dotation des collectivités locales. Le fonds a connu une augmentation dans la première année de gestion d'environ 1,5 milliard et cela ne cesse d'augmenter au fur et à mesure que les années passent. Et en 2015, il y a une augmentation de 11,7% sur les deux fonds.
Sans compter les transferts indirects qui interviennent dans le programme de développement local, tels l'ADM, le PNDL, l'ADME, l'ADL etc.
Pour dire que notre volonté et d'accompagner les collectivités locales et satisfaire les besoins pour qu'il y ait plus de viabilité, plus de dynamisme et plus d'ouverture dans l'exécution de leur mission.
Il y a aussi d'autres doléances qui ont été exprimées telles que les passeports diplomatiques pour faciliter la mobilité des élus. Sur ça, la réflexion est engagée pour essayer de trouver une solution.
Il y a aussi la demande sur le statut d'élu local, sur lequel nous sommes dans l'attente de proposition de l'Ams pour voir dans quelle mesure on peut mettre en oeuvre le statut d'élu local.
Etant entendu qu'au Sénégal si on parle d'élu local c'est 557 collectivités locales multipliées par au moins 48 conseillers locaux, ça va quand même faire une masse critique. Pour cela, il faut réfléchir pour voir la faisabilité avant de décider.
La candidature d'Aliou Sall
Pour l'instant au niveau de l'APR, il y a eu une réunion entre les responsables au plus haut niveau et y a aussi eu des concertations sur les candidatures. Il y a eu un moment d'évaluation de ces candidatures entre candidats, les niveaux d'engagement, les projets mais aussi les perspectives à l'élection.
Ces concertations ont perdu aux uns de se désister au profit du candidat Aliou Sall. Cette dynamique sera certainement consolidée dans le cadre des concertations élargies aux autres maires de l'APR pour une adhésion forte afin que la candidature d'Aliou Sall soit établie.
A cet égard, nous allons discuter avec les autres forces de Benno Bokk Yaakar, le PS, l'AFP et les autres partis politiques dans la coalition.
Ensuite, on va élargir parce que nous voulons avoir un bureau d'une association plurielle qui reflète la qualité de la démocratie du Sénégal. Donc, on va élargir ces discussions à l'opposition notamment le PDS, Rewmi, l'UCS etc.
Il y a des groupes de contact qui se sont déjà formés et nous pensons qu'à l'issue de ces concertations multi-niveaux, on pourrait aboutir à un bureau consensuel accepté de tous les membres et qui va assurer les missions confiées.
L'AMS est une association de droit privé qui regroupe en son sein les maires du Sénégal. Cette assemblée générale a une caractéristique particulière parce que ça coïncide avec le renouvellement du bureau qui a vu le nombre de ses membres connaître une certaine croissance de près de 70% du fait de la communalisation intégrale.
L'Ams passe de 167 à 557 membres aujourd'hui, ce qui est une augmentation considérable avec des enjeux dans le cadre de la mise en oeuvre d'une réforme territoriale, mais aussi avec des défis de maintien des acquis au niveau des associations régionales et internationales. L'Ams a rayonné dans ces associations internationales par son intelligence et par son implication dans les dossiers de défense des intérêts des collectivités locales.
La solution de l'acte III aux attentes de l'AMS
Pour cela, je crois que nous parlons le même langage. L'AMS demande plus de moyens, et justement c'est que le président de la République propose aussi. Le Chef de l'Etat comprend que pour réussir une politique de décentralisation, il faut accroître les moyens et renforcer les capacités opérationnelles, financières et techniques des collectivités locales.
C'est pour cela que depuis qu'il a été élu président de la République, il a augmenté de manière graduelle, les fonds de dotation des collectivités locales. Le fonds a connu une augmentation dans la première année de gestion d'environ 1,5 milliard et cela ne cesse d'augmenter au fur et à mesure que les années passent. Et en 2015, il y a une augmentation de 11,7% sur les deux fonds.
Sans compter les transferts indirects qui interviennent dans le programme de développement local, tels l'ADM, le PNDL, l'ADME, l'ADL etc.
Pour dire que notre volonté et d'accompagner les collectivités locales et satisfaire les besoins pour qu'il y ait plus de viabilité, plus de dynamisme et plus d'ouverture dans l'exécution de leur mission.
Il y a aussi d'autres doléances qui ont été exprimées telles que les passeports diplomatiques pour faciliter la mobilité des élus. Sur ça, la réflexion est engagée pour essayer de trouver une solution.
Il y a aussi la demande sur le statut d'élu local, sur lequel nous sommes dans l'attente de proposition de l'Ams pour voir dans quelle mesure on peut mettre en oeuvre le statut d'élu local.
Etant entendu qu'au Sénégal si on parle d'élu local c'est 557 collectivités locales multipliées par au moins 48 conseillers locaux, ça va quand même faire une masse critique. Pour cela, il faut réfléchir pour voir la faisabilité avant de décider.
La candidature d'Aliou Sall
Pour l'instant au niveau de l'APR, il y a eu une réunion entre les responsables au plus haut niveau et y a aussi eu des concertations sur les candidatures. Il y a eu un moment d'évaluation de ces candidatures entre candidats, les niveaux d'engagement, les projets mais aussi les perspectives à l'élection.
Ces concertations ont perdu aux uns de se désister au profit du candidat Aliou Sall. Cette dynamique sera certainement consolidée dans le cadre des concertations élargies aux autres maires de l'APR pour une adhésion forte afin que la candidature d'Aliou Sall soit établie.
A cet égard, nous allons discuter avec les autres forces de Benno Bokk Yaakar, le PS, l'AFP et les autres partis politiques dans la coalition.
Ensuite, on va élargir parce que nous voulons avoir un bureau d'une association plurielle qui reflète la qualité de la démocratie du Sénégal. Donc, on va élargir ces discussions à l'opposition notamment le PDS, Rewmi, l'UCS etc.
Il y a des groupes de contact qui se sont déjà formés et nous pensons qu'à l'issue de ces concertations multi-niveaux, on pourrait aboutir à un bureau consensuel accepté de tous les membres et qui va assurer les missions confiées.