
Lors de son discours, le leader du Pastef est revenu sur ce qui s'est passé, d'un ton sarcastique. "Quand ils ont vu la déferlante humaine, ils ont été plus rapide que des lapins. Ils ont décollé comme des avions", ironise-t-il.
Selon lui, c'est parce que les tenants du pouvoir n'ont pas d'arguments, ni d'idées et de propositions pour rivaliser avec eux. "Il ne leur reste que la violence physique et verbale. Nous prêchons la paix, nous y invitons nos partisans. Mais la situation ne saurait perdurer", avertit-il. Sonko rappelle avoir dit à Macky Sall qu'il a plus de jeunes que lui.
Si l'on en croit le leader du Pastef, ce qui s'est passé n'est qu'un avertissement. Sonko regrette le petit nombre de policiers qui est intervenu (5 éléments environ). Il a également demandé à Macky Sall de faire comprendre à ses partisans qu'on est en campagne électorale, et que chaque candidat est libre d'aller où il veut pour s'adresser aux électeur