Malgré le second plan auquel il est relégué par l’Etat qui ne lui donne aucun moyen, l’horticulture produit des résultats qu’au secteur ne réalise. Si on en croit même le Directeur de l’horticulture, Docteur Macoumba DIOUF, il est, «le sous-secteur de l’agriculture le plus performant, qui est en constante progression d’année en année». Dans une interview accordée au journal Walfadji, il indique :
«au cours des cinq dernières années, on a eu une progression de 15 à 20% chaque année d’augmentation des exportations horticoles». Par exemple ajoute-t-il, «2012 a enregistré 55 000 tonnes, en 2013, on était à 67 600 tonnes pour près de 50 milliards de francs Cfa de rentrée de devises et 12 milliards de masse salariale répartis entre tous les personnels qui s’activent autour de l’horticulture». Un résultat obtenu, «au moment où l’arachide n’a rapporté l’année dernière que 39 milliards». Et pourtant précise-t-il, «l’horticulture est le parent pauvre de l’agriculture sénégalaise en matière de soutien et d’accompagnement de la part de l’Etat». S’érigeant en avocat des braves acteurs dont il gère le secteur, Dr Diouf de marteler : «les horticulteurs sont presque laissés à eux-mêmes». Ce qui constate-t-il pour le déplorer, «est un problème».
«au cours des cinq dernières années, on a eu une progression de 15 à 20% chaque année d’augmentation des exportations horticoles». Par exemple ajoute-t-il, «2012 a enregistré 55 000 tonnes, en 2013, on était à 67 600 tonnes pour près de 50 milliards de francs Cfa de rentrée de devises et 12 milliards de masse salariale répartis entre tous les personnels qui s’activent autour de l’horticulture». Un résultat obtenu, «au moment où l’arachide n’a rapporté l’année dernière que 39 milliards». Et pourtant précise-t-il, «l’horticulture est le parent pauvre de l’agriculture sénégalaise en matière de soutien et d’accompagnement de la part de l’Etat». S’érigeant en avocat des braves acteurs dont il gère le secteur, Dr Diouf de marteler : «les horticulteurs sont presque laissés à eux-mêmes». Ce qui constate-t-il pour le déplorer, «est un problème».