Monsieur Mouctar Kébé 80 ans né en 1936 à kolda ancien ami et collaborateur du défunt directeur national du journal le soleil prie pour le repos en paix de l'àme de ce dernier.Monsieur Kébé qui a cotoyé pendant six ans le défunt Bara Diouf(89 ans) au soleil dit "avoir chéminé avec un grand homme et surtout trés modeste". Ils ont cheminé encore ensemble au sein du parti socialiste de Senghor à Abdou Diouf pense avoir une image trés positive de l'homme.
C'est un homme malade et fatigué que nous vons rencontré dans sa demeure assis sur un feuteuille roulant meurtri et surpris par la mort de son ami.
Les souvenirs que gardent sont nombreux "j'ai connu Bara Diouf en 1963 alors qu'il était chef de bureau de la presse du ministére de l'information logé au building administratif ". C'est à la suite de cela qu'il a été nommé directeur du quotidein national le soleil où nous avons continué à cheminer ensemble.Il occupera ce poste pendant dix ans tandis que moi j'y passerai six ans en tant que chef du desk étranger et national.
De ce fait " j'ai connu un homme rigoureux dans le travail et trés responsable mais surtout un sens unique dans les relations humaines" avec un regard pensif.
En ce sens, avance-t-il "nos rapports étaient trés amicaux malgré nos différents postes au bureau et en dehors du travail" et demeure " une personne trés ouverte et soucieuse"affirme-t-il.
Il se rappelle sur leur parcours "nous nous retrouvions tous les premiers mercredis de chaque mois, autour du président Senghor. pour faire le point sur la situation du journal. A l'époque Senghor tenait à diriger personnellement le déroulement du quotidein et il arrivait parfois qu'il appelle Bara Diouf pour apporter des rectificatifs sur les différentes rubriques publiées".
"Bara Diouf était un grand homme et un conducteur de troupes voire un meneur d'hommes.L es six ans que j'ai passé avec lui au Soleil sont marquées par la loyauté et le respect des engagements de l'homme traduits par une générosité immense" soutient-il.
Nous regrettons la disparition de Bara Diouf avance-t-il "il laisse un grand vide derriére lui et des amis asseulés .Je me rappelle un jour un journaliste avait dit la "hollande" en prononçant le "h" aussitot il l'a rectifié en arguant qu'il faut dire la "hollande, la hongrie" sans prononcer le "h" en souriant.
Ainsi, disait Bara Diouf " je suis trés attaché à la rigueur des rédactions de textes car un un document publié doit refleter le journaliste qui l'a produit, pour le grand bonheur du lecteur" clame-t-il.
Il regrette le bon vieux temps, "nous étions trés proches mais professionnellement soucieux du travail bien accompli".
Il se souveint de Bara Diouf comme un homme trés gentil et trés ouvert avec ses collaborateurs et laissé orpheline la famille de la presse.
Il avance en ces termes "je n'ai jamais quitté le parti socialiste c'est à cause de ma maladie que j'ai pris un peu de recul" confirme-t-il.
Amadou Mahmoud Diallo
C'est un homme malade et fatigué que nous vons rencontré dans sa demeure assis sur un feuteuille roulant meurtri et surpris par la mort de son ami.
Les souvenirs que gardent sont nombreux "j'ai connu Bara Diouf en 1963 alors qu'il était chef de bureau de la presse du ministére de l'information logé au building administratif ". C'est à la suite de cela qu'il a été nommé directeur du quotidein national le soleil où nous avons continué à cheminer ensemble.Il occupera ce poste pendant dix ans tandis que moi j'y passerai six ans en tant que chef du desk étranger et national.
De ce fait " j'ai connu un homme rigoureux dans le travail et trés responsable mais surtout un sens unique dans les relations humaines" avec un regard pensif.
En ce sens, avance-t-il "nos rapports étaient trés amicaux malgré nos différents postes au bureau et en dehors du travail" et demeure " une personne trés ouverte et soucieuse"affirme-t-il.
Il se rappelle sur leur parcours "nous nous retrouvions tous les premiers mercredis de chaque mois, autour du président Senghor. pour faire le point sur la situation du journal. A l'époque Senghor tenait à diriger personnellement le déroulement du quotidein et il arrivait parfois qu'il appelle Bara Diouf pour apporter des rectificatifs sur les différentes rubriques publiées".
"Bara Diouf était un grand homme et un conducteur de troupes voire un meneur d'hommes.L es six ans que j'ai passé avec lui au Soleil sont marquées par la loyauté et le respect des engagements de l'homme traduits par une générosité immense" soutient-il.
Nous regrettons la disparition de Bara Diouf avance-t-il "il laisse un grand vide derriére lui et des amis asseulés .Je me rappelle un jour un journaliste avait dit la "hollande" en prononçant le "h" aussitot il l'a rectifié en arguant qu'il faut dire la "hollande, la hongrie" sans prononcer le "h" en souriant.
Ainsi, disait Bara Diouf " je suis trés attaché à la rigueur des rédactions de textes car un un document publié doit refleter le journaliste qui l'a produit, pour le grand bonheur du lecteur" clame-t-il.
Il regrette le bon vieux temps, "nous étions trés proches mais professionnellement soucieux du travail bien accompli".
Il se souveint de Bara Diouf comme un homme trés gentil et trés ouvert avec ses collaborateurs et laissé orpheline la famille de la presse.
Il avance en ces termes "je n'ai jamais quitté le parti socialiste c'est à cause de ma maladie que j'ai pris un peu de recul" confirme-t-il.
Amadou Mahmoud Diallo