Douze Yéménites, que l’on ne peut pas renvoyer dans leur pays en guerre, et trois Afghans, sont parmi les quinze détenus qui sont transférés vers les Emirats arabes unis, annonce le Pentagone. Abou Dhabi sera désormais responsable d’eux : en général, ces transfuges de Guantanamo sont remis en liberté sous conditions de dispositifs de supervision et de suivi de programme de réinsertion.
Les Etats-Unis ont salué les Emiratis pour leur « geste humanitaire » et leur « volonté de soutenir les efforts en cours pour fermer le centre de détention ». La « guerre contre le terrorisme » avait permis de le remplir assez vite ; 780 personnes dont des innocents y sont passées.
Une cinquantaine non-transférable
Mais les Américains ont maintenant bien du mal à fermer Guantanamo. Ils étaient 242 quand Barack Obama est arrivé à la Maison Blanche, et malgré les libérations successives ces derniers mois, ils sont encore 61, et parmi eux, une cinquantaine sont non-libérables, et non-jugeables d’ailleurs par un tribunal classique.
Les Etats-Unis ont salué les Emiratis pour leur « geste humanitaire » et leur « volonté de soutenir les efforts en cours pour fermer le centre de détention ». La « guerre contre le terrorisme » avait permis de le remplir assez vite ; 780 personnes dont des innocents y sont passées.
Une cinquantaine non-transférable
Mais les Américains ont maintenant bien du mal à fermer Guantanamo. Ils étaient 242 quand Barack Obama est arrivé à la Maison Blanche, et malgré les libérations successives ces derniers mois, ils sont encore 61, et parmi eux, une cinquantaine sont non-libérables, et non-jugeables d’ailleurs par un tribunal classique.