Plus d’une dizaines de marches interdites, mêmes avec des autorisations déposées à la préfecture, c’est le triste constat fait par le Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme(Raddho). Et plus grave, note Aboubacry Mbodji, le secrétaire général de cette structure de défense des droits de l’homme, « Toutes ces violations ne font pas l’objet de sanctions ». Pour lui cette attitude du pouvoir n’est plus ou moins d’un recul démocratique. Sur l’affaire Karim Wade, M Bodji exprimé toute son inquiétude sur le caractère politique de la Cour de répression de l’enrichissement illicite(Crei).