Green Sénégal, SOS Littoral, les organisations de défense du littoral, les acteurs du parcours sportif de la corniche Ouest, l’escalade, mon Sénégal à moi, l’ASC Fann, en partenariat avec d’autres structures, avaient prévu d’organiser une caravane de visites guidées le samedi 29 mars 2014, à 16 heures précises sur l’axe du littoral, plage Terrou bi - Phare des Mamelles, suivie d’un point de presse pour sensibiliser les acteurs sur la nécessité de préserver le littoral agressé de toutes parts par des constructions. Cependant la marche initialement prévue n’a pas reçu d’avis favorable de la part des autorités administratives indique le communiqué des organisateurs.
Ils précisent par la suite que cette initiative vise à alerter les pouvoirs publics pour que le littoral sénégalais soit préservé et qu’aucune attribution même institutionnelle ne s’opère sur cette partie déjà trop exposé. « Les activités de la coalition des acteurs pour la préservation du littoral ne sont nullement dirigées vers les représentations diplomatiques au Sénégal » précisent-t-ils aussi. « Nous sommes conscients que le Sénégal dans le cadre du partenariat bilatéral entretient de bonnes relations avec les pays tiers » lit-on dans le communiqué.
Selon la plateforme la problématique de l’érection « des murs » sur le littoral ne doit pas cependant être l’arbre qui cache la forêt. « Ce que nous craignons c’est que d’autres forces tapies dans l’ombre profitent de cette situation pour s’accaparer des terres du littoral à des fins personnelles».
Ils précisent par la suite que cette initiative vise à alerter les pouvoirs publics pour que le littoral sénégalais soit préservé et qu’aucune attribution même institutionnelle ne s’opère sur cette partie déjà trop exposé. « Les activités de la coalition des acteurs pour la préservation du littoral ne sont nullement dirigées vers les représentations diplomatiques au Sénégal » précisent-t-ils aussi. « Nous sommes conscients que le Sénégal dans le cadre du partenariat bilatéral entretient de bonnes relations avec les pays tiers » lit-on dans le communiqué.
Selon la plateforme la problématique de l’érection « des murs » sur le littoral ne doit pas cependant être l’arbre qui cache la forêt. « Ce que nous craignons c’est que d’autres forces tapies dans l’ombre profitent de cette situation pour s’accaparer des terres du littoral à des fins personnelles».