CONTRIBUTION SUR L’AFFAIRE CHEIKH YERIM SECK : Justification du non lieu de Cheikh Yerim SECK


Dans le contexte actuel après  le procès, suivi d’une déposition d’appel, seul le certificat médical du médecin qui avait culpabilisé Cheikh Yerim SECK de par l’incapacité de 15 jours de la fille, va le décharger de toute accusation après une analyse très approfondie de ce même certificat médical.

Car nous ne pouvons comprendre qu’un médecin avec sept ans d’études supérieures puisse faire autant de fautes dans la forme et dans le fond du dit certificat médical. Cela nous mènera à nous demander  dans quel état d’esprit était le médecin quant il rédigeait le certificat ou au pire des cas ce n’est pas lui qui l’a fait.

De ce fait nous avons analysé le certificat médical dans le fond et la forme pour prouver nos inquiétudes.
 
Les fautes d’orthographe  
Le certificat médical présence des fautes d’orthographe tellement élémentaires qui nous fait douter que c’est le médecin qui l’a écrit.
Les fautes d’orthographe suivantes sont directement prises dans le certificat médical :
« le médecin déclare avoir reçu une fille victime de viole », viol avec E ; « le médecin déclare avoir reçu une fille conscience », au lieu de consciente ; « le médecin dit que la fille présentait un saignement utérine », au lieu de utérin ; « le médecin parle de phychotérapie de soutient», au lieu de psychothérapie de soutien. On s’est demandé comment avec un cas aussi délicat un médecin qualifié peut il faire des fautes aussi sensibles dans le certificat médical qui s’avère être très important dans ces cas là.

Parlons maintenant après la forme, du fond de ce certificat médical qui est incohérent.
 
 
Les incohérences du certificat médical  
L’analyse du certificat médical dans le fond nous à fait savoir que le médecin ne connait pas bien l’anatomie de l’appareil génital de la femme qui est constitué comme suit :
Les lèvres ; L’orifice hyménale ; La paroi vaginale ; Le cul de sac de douglas ; Le col qui donne la porte de l’utérus ; L’utérus et annexes. Ce qui nous amène à dire que anatomiquement, le sang durant les rapports sexuels ne peut provenir que d’une :
Perforation hyménale ; Lésion Ando vaginale ; Rupture du cul de sac de douglas ; Lésion du col sinon infecté et inflammé ; Sortie des règles durant les rapports ; Fausse couche durant les rapports ; Dans le certificat médical, le médecin nous parle de sang d’origine Ando vaginale et utérin mentionné comme suit :
Saignement utérin, lésion Ando vaginale, perforation hyménal.

Ce qui est impossible car il doit y avoir d’abord une perforation hyménale puis une lésion Ando vaginale pour après avoir un saignement utérin.
Et si la femme était vierge et qu’on l’aurait défloré, la douleur serait tellement vive qu’elle ne laisserait pas le rapport continuer jusqu’à créer des douleurs Ando vaginales. Pour ceux qui connaissent une défloration récente et la douleur qui en survient, on sait pertinemment qu’il ne peut pas y avoir  de rapports sexuels continus jusqu’à créer des douleurs Ando vaginales.

Pour mieux expliquer, on ne peut pas entrer dans une chambre sans passer par la porte, or ici c’est l’orifice hyménale représente la porte. Et si cette porte est fracassée et brutalement, se sont des cris qui ameuteront tout le voisinage.

Et la je parle bien de cris avec S non d’un cri que l’on dit avoir été poussé par la jeune fille.

On ne saurait aussi comprendre comment une personne victime de viol qui présente d’après le certificat médical des douleurs pelviennes ne puisse pas bénéficier d’une ordonnance d’Anti spasmodique ou d’anti inflammatoire antalgique.

On ne saurait aussi comprendre qu’une personne reçue consciente et en bon état général puisse bénéficier d’une incapacité de 15 jours.         
 
Pourquoi il n’y a pas eu défloration  
Dans le certificat médical le médecin nous parle de saignement utérin et de lésion Ando vaginale mais jamais de lésion de l’orifice hyménale.
Or si le sang provient d’une lésion Ando vaginale, cela veut dire que le sexe masculin a du traverser l’orifice hyménale sans résistance et atteindre le col jusqu’à provoquer  un saignement utérin, ce qui nous mène à dire que l’hymen était inexistant, ce qui veut dire que la fille n’était pas vierge.

Car s’il y avait une perforation hyménale comme le décrit le médecin, l’intensité de la douleur ne laisserait pas occasionner des lésions Ando vaginales et d’un saignement utérin.

On ne peut pas nier qu’il y ait eu saignement et cri, mais tout cela s’explique par le frottement entre la matière synthétique qui est le capot  « manix » contre la matière vivante de la muqueuse vaginale qui a causé l’assèchement du vagin par la durée du rapport sexuel.

Donc si le frottement occasionne une irritation et secondairement une ouverture de la muqueuse vaginale il y a plaie ou lésion, qui dit lésion dit section des nerfs, qui dit section des nerfs dit douleurs suivi de saignement d’où la justification du cri poussé une fois par la jeune fille.
Et cela peut arrive  à une femme mariée ayant plus de 4 enfants, mais jamais à une femme victime de défloration récente.

Maintenant comment est ce possible qu’une femme victime d’une défloration récente quitte le premier étage jusqu’au rez de chaussée sans magnifier une douleur quelconque, ni de vertige ni de soutien et se tenir debout et marcher.
On sait tous par tradition à notre peuple se que s’est une défloration.
 
 
 
Pourquoi il n’y a pas eu viol :  
On ne peut pas parler de viol parce que la jeune fille avait la latitude de ne pas :
Répondre à l’invitation Se rendre à l’auberge ; Monter les escaliers ; Entrer dans la chambre ; S’asseoir sur le lit. Rester dans la chambre s’il y avait quelque chose de louche ; Se déshabiller, surtout si la jeune fille prétend porter un pantalon qui est très difficile à enlever si celle qui la porte dit non au rapport sexuel ; Attendre la mise en place du capot ; Attendre le rapport et se battre, crier, griffer, appeler aux secours au moment même ou le personnel de l’hôtel est monté lorsqu’il on entendu un cri, Rester muette et dire le contraire lorsque cheikh yerim SECK  à dit au personnel que se n’était rien de grave car si elle voulait être secouru s’était le bon moment. Pour justifier le non lieu de cheikh yerim SECK  après l’analyse faite sur le certificat médical, on demande à se qu’une contre expertise clinique soit faite physiquement sur la fille ou qu’une contre expertise du certificat médical  soit faite par un expert médecin ou un professeur pour le prochain jugement.
 
                                                                                    
LE CITOYEN

Abdou Khadre Cissé

Mardi 30 Octobre 2012 13:06

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