Le personnel n'a pas de problèmes à décoller et à atterrir dans les régions touchées, mais ne souhaite plus y passer de nuitée, ce qui était pourtant nécessaire dans le schéma de vol actuel, explique le délégué SETCa, Olivier Van Camp.
Le porte-parole de Brussels Airlines, Geert Sciot, estime qu'on ne peut pas véritablement parler de panique au sein du personnel. "Nous prenons en compte la préoccupation de notre personnel, d'où cette mesure préventive", a-t-il commenté.
Jusqu'à présent, le crew de la compagnie passait la nuitée sur place dans les environs de Monrovia (Liberia). Désormais, les nuitées seront passées dans un autre pays d'Afrique de l'Ouest "le Sénégal, la Gambie ou la Côte d'Ivoire", a détaillé M. Sciot. Une escale technique sera donc nécessaire.
Brussels Airlines continuera bien à assurer ses vols habituels dans la région. Mardi, la compagnie anglaise British Airways avait pour sa part annoncé la suspension jusqu'au 31 août au moins de ses vols vers le Libéria et la Sierra Leone, deux des quatre pays africains touchés par l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola.
Le porte-parole de Brussels Airlines, Geert Sciot, estime qu'on ne peut pas véritablement parler de panique au sein du personnel. "Nous prenons en compte la préoccupation de notre personnel, d'où cette mesure préventive", a-t-il commenté.
Jusqu'à présent, le crew de la compagnie passait la nuitée sur place dans les environs de Monrovia (Liberia). Désormais, les nuitées seront passées dans un autre pays d'Afrique de l'Ouest "le Sénégal, la Gambie ou la Côte d'Ivoire", a détaillé M. Sciot. Une escale technique sera donc nécessaire.
Brussels Airlines continuera bien à assurer ses vols habituels dans la région. Mardi, la compagnie anglaise British Airways avait pour sa part annoncé la suspension jusqu'au 31 août au moins de ses vols vers le Libéria et la Sierra Leone, deux des quatre pays africains touchés par l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola.