De l’activisme, de parapluie, voire même d’arme d’attaque ou de vengeance, c’est en substance, selon Bouba Ndour, l’esprit actuel des organes de presse Sénégalaise. « 90% des organes de presse Sénégalaise sont à la solde de tiers. C'est-à-dire que la majorité des organes de presse sont soit financé par de tiers, pour s’en prendre à d’honnête citoyens ou pour de règlement de comptes personnels », tance t-il hier lors de l’émission, « Jakaarlo », de la TFM. Toutefois, il interpelle les uns et les autres à la raison, au professionnalisme, pour la bonne marche du métier au Sénégal.