nous avons appris ce samedi, que plusieurs Chef d'Etats Africains se bousculent pour se rendre en France pour soutenir le Président Hollande endeuillé par la mort d'une dizaine de ses compatriotes. Au premier rang, Macky Sall du Sénégal et Ibrahima Boubarcar Keita du Mali et d'autres. Ces derniers se rendent en France pendant qu’au Nigeria, Boko Haram a procédé à l’exécution de pas moins de 2000 personnes, ce samedi. Ce qui constitue le «pire massacre » jamais perpétré par le groupe islamiste, selon Amnesty International.
Tous ces Présidents africains qui se sont déplacés en France n’ont d’yeux que pour l’occident, montrant ainsi une fois de plus, que l’Afrique est toujours sous la domination coloniale. Car, comment comprendre, qu’au moment où 2 000 nigérians sont froidement abattus par des islamistes de Boko Haram (l’éducation occidentale est un péché) que des Présidents démocratiquement élus se hâtent pour se mettre à côtés de Hollande. En effet, si le Président Béninois se permet de se rendre à Paris, par contre, Macky Sall et IBK devraient penser aux moins aux 7 soldats Sénégalais qui sont entre la vie et la mort âpres avoir sauté sur une mine que d’aller dénoncer la tuerie à Charlie Heddo.
Les agents de ce journal, que dieux ait pitié de leurs ames, mais ils avaient soutenu que "la provocation était leur gagne pain". Nous rappelons a nos dirigeants : «Balayer sa propre cour avant de balayer celle d’autrui». Pitoyable Afrique!
Tous ces Présidents africains qui se sont déplacés en France n’ont d’yeux que pour l’occident, montrant ainsi une fois de plus, que l’Afrique est toujours sous la domination coloniale. Car, comment comprendre, qu’au moment où 2 000 nigérians sont froidement abattus par des islamistes de Boko Haram (l’éducation occidentale est un péché) que des Présidents démocratiquement élus se hâtent pour se mettre à côtés de Hollande. En effet, si le Président Béninois se permet de se rendre à Paris, par contre, Macky Sall et IBK devraient penser aux moins aux 7 soldats Sénégalais qui sont entre la vie et la mort âpres avoir sauté sur une mine que d’aller dénoncer la tuerie à Charlie Heddo.
Les agents de ce journal, que dieux ait pitié de leurs ames, mais ils avaient soutenu que "la provocation était leur gagne pain". Nous rappelons a nos dirigeants : «Balayer sa propre cour avant de balayer celle d’autrui». Pitoyable Afrique!