Le Maire de Dakar qui « fait figure de redoutable challenger » pour la prochaine élection présidentielle, fait face, depuis quelques jours, à des accusations de détournement de deniers publics. Il est dans la tourmente depuis les révélations sur l’affaire de la caisse d'avance. Ça fini devant le juge et l’édile est actuellement dans les liens de la détention. Le candidat du « Ps anti Tanor », toujours empêtré dans l'affaire de la caisse d'avance, entame un séjour carcéral « crucial » pour son avenir politique. Son emprisonnement vient bouleverser le bel avenir politique présagé au Maire de Dakar.
De son côté, Me Ciré Cledor Ly un des avocats du socialiste, a fait taire les rumeurs « infondées » sur un éventuel cautionnement, qui serait suicidaire pour Khalifa Sall. Le non moins chargé de la Vie politique du Parti socialiste (Ps), « dos au mur », a préféré aller en prison que de verser une caution.
Incarcéré, Khalifa Sall affronte une étape cruciale de sa vie politique. Avec ses conseils, l'enfant de Grand-Yoff « devrait jouer son va-tout pour sortir de prison la tête haute », afin de « reprendre la main, renouer le lien et convaincre de sa bonne foi et de sa légitimité ». En quoi faisant ? En apportant des preuves de son innocence, sous peine de mise hors course.
Khalifa ne devrait pas « renoncer » mais « changer de stratégie », en étant « plus offensif dans sa défense, ne jamais reconnaître ses erreurs ». Depuis sa cellule, le Maire devrait « apaiser les doutes » et « appelé à l'unité chez les frondeurs socialiste », pour ne pas « perdre » la confiance chez les électeurs. Khalifa Sall n'aurait « pas d'autre solution » que de se retirer de la course aux législatives, l'affaire de la caisse d'avance constituant « une atteinte à la décence ».
Rester serein face à la conspiration et à sa mise à mort orchestrée par l'exécutif. Même si l'un des plus redoutables challengers de Maky Sall n'est pas du tout exempt de reproches. L'opposant le plus charmant du moment a prêté le flanc à la critique. Le chef des mutins socialistes s’est tiré une balle dans le pied. Mais, espérons qu'il ne sera pas condamné à une peine de prison qui lui fera perdre ses droits civiques. Espérons que Khalifa Sall va se relancer dans la course 2019, pour la Présidence de la République.
De son côté, Me Ciré Cledor Ly un des avocats du socialiste, a fait taire les rumeurs « infondées » sur un éventuel cautionnement, qui serait suicidaire pour Khalifa Sall. Le non moins chargé de la Vie politique du Parti socialiste (Ps), « dos au mur », a préféré aller en prison que de verser une caution.
Incarcéré, Khalifa Sall affronte une étape cruciale de sa vie politique. Avec ses conseils, l'enfant de Grand-Yoff « devrait jouer son va-tout pour sortir de prison la tête haute », afin de « reprendre la main, renouer le lien et convaincre de sa bonne foi et de sa légitimité ». En quoi faisant ? En apportant des preuves de son innocence, sous peine de mise hors course.
Khalifa ne devrait pas « renoncer » mais « changer de stratégie », en étant « plus offensif dans sa défense, ne jamais reconnaître ses erreurs ». Depuis sa cellule, le Maire devrait « apaiser les doutes » et « appelé à l'unité chez les frondeurs socialiste », pour ne pas « perdre » la confiance chez les électeurs. Khalifa Sall n'aurait « pas d'autre solution » que de se retirer de la course aux législatives, l'affaire de la caisse d'avance constituant « une atteinte à la décence ».
Rester serein face à la conspiration et à sa mise à mort orchestrée par l'exécutif. Même si l'un des plus redoutables challengers de Maky Sall n'est pas du tout exempt de reproches. L'opposant le plus charmant du moment a prêté le flanc à la critique. Le chef des mutins socialistes s’est tiré une balle dans le pied. Mais, espérons qu'il ne sera pas condamné à une peine de prison qui lui fera perdre ses droits civiques. Espérons que Khalifa Sall va se relancer dans la course 2019, pour la Présidence de la République.