
Mais au delà du patron de Walfadjri, la journaliste a mené ce combat pour que les patrons de presse ne fassent plus ce qu’ils veulent avec leurs employés. « Ce qui m’animait, c’était de montrer à tous les patrons de presse qu’ils ne peuvent se débarrasser de leurs employés comme bon leur semble », s’explique la journaliste de Tfm. Mais Aissatou Diop Fall est d’avis que son cas était spécifique car, pendant trois mois, le groupe Walfadjri s’est acharné sur elle. « Je faisais la Une de tous les quotidiens du groupe et même une conférence a été organisée pour me descendre », se remémore ADF qui peut bien jubiler en attendant l’autre round de ce combat à mort.