Son mariage avec Cheikh Béthio Thioune qui a fait d’elle sa septième épouse a révulsé sa famille. Qui a fait une sortie au vitriol dans la presse pour exiger sa « libération » car son frère qui a parlé à l’Obs ce mardi est convaincu qu’elle est victime d’un rapt. Adja Dethié Pène balaie en touche « je ne suis pas kidnappée et je me veux claire. Parce qu’une personne victime d’un kidnapping n’a pas le loisir de vous parler comme je le fais en ce moment ».
Et de poursuivre : « c’est vrai que des membres de ma famille sont venus dire au Cheikh qu’ils voulaient me ramener à la maison et le Cheikh était prêt à me laisser partir. Il disait qu’il allait discuter avec moi et que j’allais retourner sous peu chez mes parents. Quand le marabout m’en a parlé, c’est moi qui ai refusé de retourner chez moi. Je reste et voila ».
Adja Pène qui se fait appelle Adja Saliou ne manque pas d’entregents pour expliquer son mariage avec le thiantacoune en chef. A l’en croire, c’est la volonté divine. Il a fallu d’une deuxième rencontre avec le marabout pour qu’elle tombe raide dingue de ce dernier. « C’est un coup de foudre et l’on n’y peut rien », fatalise-t-elle.
S’agissant de son rang de septième épouse, Adja Pène laisse entendre que cela ne la gêne pas d’autant plus qu’il y a des femmes qui sont 50e épouse. « C’est juste que le cheikh est l’arbre qui cache la foret », plaide-t-elle. Que ses parents se le tiennent pour dit ! Elle ne quitterait le Cheikh pour rien au monde. « Je me suis mariée et je compte mourir dans ce ménage ». Cependant, elle demande pardon à sa mère qu’elle a fait pleurer.
Et de poursuivre : « c’est vrai que des membres de ma famille sont venus dire au Cheikh qu’ils voulaient me ramener à la maison et le Cheikh était prêt à me laisser partir. Il disait qu’il allait discuter avec moi et que j’allais retourner sous peu chez mes parents. Quand le marabout m’en a parlé, c’est moi qui ai refusé de retourner chez moi. Je reste et voila ».
Adja Pène qui se fait appelle Adja Saliou ne manque pas d’entregents pour expliquer son mariage avec le thiantacoune en chef. A l’en croire, c’est la volonté divine. Il a fallu d’une deuxième rencontre avec le marabout pour qu’elle tombe raide dingue de ce dernier. « C’est un coup de foudre et l’on n’y peut rien », fatalise-t-elle.
S’agissant de son rang de septième épouse, Adja Pène laisse entendre que cela ne la gêne pas d’autant plus qu’il y a des femmes qui sont 50e épouse. « C’est juste que le cheikh est l’arbre qui cache la foret », plaide-t-elle. Que ses parents se le tiennent pour dit ! Elle ne quitterait le Cheikh pour rien au monde. « Je me suis mariée et je compte mourir dans ce ménage ». Cependant, elle demande pardon à sa mère qu’elle a fait pleurer.