Lorsque je venais de mettre en place mon groupe, le “Djolof band”, ma première sortie s'est faite là-bas. C'est un moment de ma carrière que je n'oublierai jamais. Les Gambiens m'ont accueilli avec une euphorie sans pareil et pourtant, c'était la première fois que j'y jouais. Cet engouement à mon égard continue de s'accentuer. Chacun de mes déplacements dans ce pays frère est considéré comme un évènement d'une grande dimension. C'est quelque chose que je ne peux même pas décrire. Lorsque je suis au contact du public, ce que je ressens au au-dessus de la normale. En somme, mes fans gambiens sont exceptionnels. Ils m'apprécient beaucoup et consomment ma musique comme si je faisais partie des artistes de leur pays. Même si, par ailleurs, je me considère comme l'une des leurs. Après tout, ne dit-on pas que le Sénégal et la Gambie sont des peuples frères”, se justifie-t-elle dans un entretien avec “L'Observateur”.
Selon elle, ses fans sont disséminés un peu partout dans le monde, mais, elle a voulu célébrer avec les Gambiens, “histoire de leur rendre hommage, pour (lui) avoir ouvert leurs portes et leurs coeurs”.
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