Lui qui n’a pas vu son adversaire lors du « Big Show » de présentation des combats d’Aziz Production, a profité de cette absence, saisissant son large temps de parole, pour défendre la cause de l’arène sénégalaise en général. Tyson a ainsi appelé les lutteurs à se défendre et à faire bloc pour défendre leur corporation.
« C’est notre métier et nous devons le préserver », a dit l’ex-roi des arènes qui avait totalisé dans le passé dix combats dix victoires avant de se faire piéger par Bombardier. Pour le leader de ‘’la Génération Boul Falé’’, si aujourd’hui les sponsors menacent de partir, c’est parce que les lutteurs eux-mêmes ne se sont pas valorisés mais pas à cause de la violence. « Il n’y a plus de violence dans la lutte », a-t-il constaté. Voilà pourquoi il a appelé ses collègues, à se ressaisir, se respecter eux-mêmes d’abord, pour se faire respecter ensuite et puis parler d’une même voix. Car , poursuivra-t-il, la lutte draine beaucoup de monde et est aussi un moyen de développement économique.
« Nous lutteurs sommes des ambassadeurs du Sénégal. Nous faisons du sport certes mais c’est du business. Et je pense que tout le monde l’a compris aujourd’hui. Si le gouvernement parle du poids du sport sur le développement sans faire appel à la lutte, il y a problème. Il ya des gens qui travaillent pour la mort de la lutte. Il faut donc que nous acteurs de la lutte évitons de donner un prétexte à ces gens là en étant plus responsables. La lutte est la culture sénégalaise. Et nous n’avons rien à envier aux autres disciplines que sont le football, le basketball… »
« C’est notre métier et nous devons le préserver », a dit l’ex-roi des arènes qui avait totalisé dans le passé dix combats dix victoires avant de se faire piéger par Bombardier. Pour le leader de ‘’la Génération Boul Falé’’, si aujourd’hui les sponsors menacent de partir, c’est parce que les lutteurs eux-mêmes ne se sont pas valorisés mais pas à cause de la violence. « Il n’y a plus de violence dans la lutte », a-t-il constaté. Voilà pourquoi il a appelé ses collègues, à se ressaisir, se respecter eux-mêmes d’abord, pour se faire respecter ensuite et puis parler d’une même voix. Car , poursuivra-t-il, la lutte draine beaucoup de monde et est aussi un moyen de développement économique.
« Nous lutteurs sommes des ambassadeurs du Sénégal. Nous faisons du sport certes mais c’est du business. Et je pense que tout le monde l’a compris aujourd’hui. Si le gouvernement parle du poids du sport sur le développement sans faire appel à la lutte, il y a problème. Il ya des gens qui travaillent pour la mort de la lutte. Il faut donc que nous acteurs de la lutte évitons de donner un prétexte à ces gens là en étant plus responsables. La lutte est la culture sénégalaise. Et nous n’avons rien à envier aux autres disciplines que sont le football, le basketball… »
Lutte : l’adversaire de Reug Reug connu
