Le secrétaire général du Ps, Ousmane Tanor Dieng, ne nie pas l’évidence : son parti est dans le creux de la vague. Pour autant, il ne perd pas espoir. Il dit : « Comme tout grand parti, il y a toujours des divergences qu’il faut aplanir. Nous avons l’habitude de vivre pareille situation. On a mal, mais on trouvera une solution. »
À propos des ambitions présidentielles prêtées au maire socialiste de Dakar, Khalifa Sall, Tanor semble ne veut pas danser plus vite que la musique. « Nous attendons que quelqu’un vienne au niveau de nos instances et nous dise ce qu’il veut faire. À ce moment-là, on prendra les décisions appropriées, avise le chef de file des Verts. Mais nous nous méfions des déclarations qui sont prêtées aux uns et aux autres à travers les médias. »
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