La ville de Tambacounda changera de visage. C’est du moins ce que cherche le programme de modernisation des villes dont le démarrage des travaux est attendu en janvier 2017. En visite de terrain dans la commune de Tambacounda, ce mercredi 26 octobre 2016, la coordonnatrice du promovil, Mme Astou Diokhané Sow a rappelé l’importance du programme.
« Le promovil est un programme initié par le Président de la république. Il vise à améliorer les conditions de vie dans les centres urbains. Dans la commune de Tambacounda, il est prévu dans le cadre de ce programme de réaliser de la voierie avec de l’éclairage public, de l’assainissement, de l’aménagement paysager et une gare destinée aux gros porteurs».
L’exécution du promovil s’effectuera avec le concours de la Banque Africaine de Développement. Elle « est venue en mission d’évaluation depuis début octobre pour passer dans les villes de Kaolack, Kolda, Ziguinchor. Tambacounda est la dernière visite de terrain dans le cadre de cette mission » selon Mme Sow. La BAD a d’ailleurs participé à hauteur de 75 milliards de fcfa au promovil qui vise 13 localités du pays.
Pour l’exécution de la première phase du promovil dans la commune de Tambacounda, des infrastructures routières dans les quartiers de Saré Guilel, Liberté, Plateau, Medina-coura, Dépôt seront installées avec un éclairage public, un système d’assainissement et des aménagements urbains. Ainsi 6 kilomètres de voiere seront bitumés, l’esplanade de la mairie et le jardin public de HLM 2 aménagés. A cela s’ajoutent le pavage de la chaussée et la construction de la clôture du lycée Mame Cheikh Mbaye. Quant à la deuxième phase, la voierie publique à réhabiliter est de 10 kilomètres.
Vu l’importance de ces projets, le chargé de suivi du promovil, M. Seydou Diop a sollicité l’implication de la Mairie qui doit se charger, en plus du recrutement de la main d’œuvre pour la pose des pavés, de l’entretien des infrastructures une fois qu’elles seront installées. Tout en évoquant que le souhait du Président Macky Sall, à travers ce programme, « est d’améliorer l’accessibilité et la mobilité des populations vers les centres de service ».
Avant le début des travaux, environ 500 jeunes de la région seront formés pour la pause de pavés et pour l’entretien des infrastructures routières, de l’éclairage public, des aménagements urbains.
Amédine FAYE
« Le promovil est un programme initié par le Président de la république. Il vise à améliorer les conditions de vie dans les centres urbains. Dans la commune de Tambacounda, il est prévu dans le cadre de ce programme de réaliser de la voierie avec de l’éclairage public, de l’assainissement, de l’aménagement paysager et une gare destinée aux gros porteurs».
L’exécution du promovil s’effectuera avec le concours de la Banque Africaine de Développement. Elle « est venue en mission d’évaluation depuis début octobre pour passer dans les villes de Kaolack, Kolda, Ziguinchor. Tambacounda est la dernière visite de terrain dans le cadre de cette mission » selon Mme Sow. La BAD a d’ailleurs participé à hauteur de 75 milliards de fcfa au promovil qui vise 13 localités du pays.
Pour l’exécution de la première phase du promovil dans la commune de Tambacounda, des infrastructures routières dans les quartiers de Saré Guilel, Liberté, Plateau, Medina-coura, Dépôt seront installées avec un éclairage public, un système d’assainissement et des aménagements urbains. Ainsi 6 kilomètres de voiere seront bitumés, l’esplanade de la mairie et le jardin public de HLM 2 aménagés. A cela s’ajoutent le pavage de la chaussée et la construction de la clôture du lycée Mame Cheikh Mbaye. Quant à la deuxième phase, la voierie publique à réhabiliter est de 10 kilomètres.
Vu l’importance de ces projets, le chargé de suivi du promovil, M. Seydou Diop a sollicité l’implication de la Mairie qui doit se charger, en plus du recrutement de la main d’œuvre pour la pose des pavés, de l’entretien des infrastructures une fois qu’elles seront installées. Tout en évoquant que le souhait du Président Macky Sall, à travers ce programme, « est d’améliorer l’accessibilité et la mobilité des populations vers les centres de service ».
Avant le début des travaux, environ 500 jeunes de la région seront formés pour la pause de pavés et pour l’entretien des infrastructures routières, de l’éclairage public, des aménagements urbains.
Amédine FAYE
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