Nous sommes à deux jours du Magal de Touba et vous êtes réputé être un fervent disciple mouride. Comment vous vous préparez pour cette grande fête de la communauté mouride ?
Je prépare le Magal de Touba comme tous les disciples mourides. Je suis en train de faire mes bagages pour rallier la ville sainte afin de répondre à l’appel de Serigne Touba. Cependant, je fais comme tous les talibés, en distribuant de l’argent pour les frais de transport. Mais également, je vais donner à mon marabout un «adiya». Je ferai tout ce qu’un fervent disciple doit faire.
Plusieurs lutteurs, dont Papa Sow et même Lac 2, vous défient à travers la presse. Qu’en pensez-vous ?
Je n’ai pas de commentaire à faire sur ça. Mais j’ai entendu tout ce qu’ils ont dit.
L’année dernière, vous avez ficelé votre combat contre Balla Gaye 2 dès l’ouverture de la saison. Cette année votre marge de manœuvre est réduite pour trouver un adversaire. Ne craignez-vous pas une année blanche ?
Je n’ai pas peur d’une année blanche. L’importance est de rester digne. Je ne vais pas me rabaisser devant aucun promoteur pour lui demander d’organiser mon combat contre qui que ce soit. Si un promoteur désire monter mon combat, il saura où me trouver. Récemment, un promoteur m’a contacté, mais nous ne nous sommes pas tombés d’accord sur certains détails. Je pourrais faire comme certains lutteurs en me rendant chez un promoteur pour lui demander d’organiser mon combat contre «X» lutteur. Mais je ne le ferai pas. J’ai des principes. C’est aux promoteurs de venir me contacter.
Pour cette saison, vous êtes dans quelle perspective : une revanche ou tendre la perche aux jeunes ?
Je ne fais de fixation sur aucun lutteur. Cependant, je suis prêt à accepter tout adversaire que la lutte m’impose. Je maintiens ma position. J’ai toujours prié pour que ce duel (Balla Gaye 2-Bombardier) ait lieu. Je suis toujours entre ces deux lutteurs. J’ai terrassé l’un (Bombardier) et l’autre (Balla Gaye 2) m’a battu. Donc deux options pourront s’offrir à moi : prendre ma revanche sur Balla Gaye 2 ou donner à Bombardier une deuxième chance.
Votre combat contre Balla Gaye 2 vous a donné plus de notoriété…
Je ne dirai pas que je suis connu grâce à ce combat. Je m’étais déjà fait un nom dans l’arène. D’ailleurs, j’ai très tôt livré un grand combat. Plus jeune, il m’est arrivé de décliner des offres, préférant attendre mon heure.
Vous aviez avancé des raisons mystiques pour expliquer votre défaite contre Balla Gaye 2. Avez-vous retrouvé l’usage de vos bras ?
Je ne veux pas revenir sur ça parce que c’est un aspect de la lutte. Je rends grâce à Dieu, car je me suis bien refait.
On vous a découvert aussi un talent de rappeur la saison dernière…
Je l’avais fait sur proposition du promoteur en un seul jour. On a fait que 30 minutes en studio. Ce n’était pas difficile pour moi, car j’avais l’habitude d’écouter Lucky Dube, Bob Marley, Luciano, Morgane Héritage, Alpha Blondy etc. Je n’avais pas de problème pour m’adapter lors de l’enregistrement.
MAMADOU FAL
Je prépare le Magal de Touba comme tous les disciples mourides. Je suis en train de faire mes bagages pour rallier la ville sainte afin de répondre à l’appel de Serigne Touba. Cependant, je fais comme tous les talibés, en distribuant de l’argent pour les frais de transport. Mais également, je vais donner à mon marabout un «adiya». Je ferai tout ce qu’un fervent disciple doit faire.
Plusieurs lutteurs, dont Papa Sow et même Lac 2, vous défient à travers la presse. Qu’en pensez-vous ?
Je n’ai pas de commentaire à faire sur ça. Mais j’ai entendu tout ce qu’ils ont dit.
L’année dernière, vous avez ficelé votre combat contre Balla Gaye 2 dès l’ouverture de la saison. Cette année votre marge de manœuvre est réduite pour trouver un adversaire. Ne craignez-vous pas une année blanche ?
Je n’ai pas peur d’une année blanche. L’importance est de rester digne. Je ne vais pas me rabaisser devant aucun promoteur pour lui demander d’organiser mon combat contre qui que ce soit. Si un promoteur désire monter mon combat, il saura où me trouver. Récemment, un promoteur m’a contacté, mais nous ne nous sommes pas tombés d’accord sur certains détails. Je pourrais faire comme certains lutteurs en me rendant chez un promoteur pour lui demander d’organiser mon combat contre «X» lutteur. Mais je ne le ferai pas. J’ai des principes. C’est aux promoteurs de venir me contacter.
Pour cette saison, vous êtes dans quelle perspective : une revanche ou tendre la perche aux jeunes ?
Je ne fais de fixation sur aucun lutteur. Cependant, je suis prêt à accepter tout adversaire que la lutte m’impose. Je maintiens ma position. J’ai toujours prié pour que ce duel (Balla Gaye 2-Bombardier) ait lieu. Je suis toujours entre ces deux lutteurs. J’ai terrassé l’un (Bombardier) et l’autre (Balla Gaye 2) m’a battu. Donc deux options pourront s’offrir à moi : prendre ma revanche sur Balla Gaye 2 ou donner à Bombardier une deuxième chance.
Votre combat contre Balla Gaye 2 vous a donné plus de notoriété…
Je ne dirai pas que je suis connu grâce à ce combat. Je m’étais déjà fait un nom dans l’arène. D’ailleurs, j’ai très tôt livré un grand combat. Plus jeune, il m’est arrivé de décliner des offres, préférant attendre mon heure.
Vous aviez avancé des raisons mystiques pour expliquer votre défaite contre Balla Gaye 2. Avez-vous retrouvé l’usage de vos bras ?
Je ne veux pas revenir sur ça parce que c’est un aspect de la lutte. Je rends grâce à Dieu, car je me suis bien refait.
On vous a découvert aussi un talent de rappeur la saison dernière…
Je l’avais fait sur proposition du promoteur en un seul jour. On a fait que 30 minutes en studio. Ce n’était pas difficile pour moi, car j’avais l’habitude d’écouter Lucky Dube, Bob Marley, Luciano, Morgane Héritage, Alpha Blondy etc. Je n’avais pas de problème pour m’adapter lors de l’enregistrement.
MAMADOU FAL
Lutte : l’adversaire de Reug Reug connu
