Certains petits-fils de Khadimou Rassoul ne sont pas du tout contents du rapport entre le pouvoir et le Khalifat de Touba. Pour cause, ils se disent oubliés par l’actuel Khalife Général et son entourage qui auraient oublié certains petits-fils du Serigne Touba. Un fait déploré par Serigne Cheikhouna Mbacké qui se plaint de la situation de précarité que vivent ces frères Mbacké Mbacké.
Toujours d’attaque, Serigne Cheikhouna Mbacké qui dénonce la non prise en compte de la situation des petits-Touba où des milliards sont injectés est vraiment déçu de la répartition des mannes financières. Ceci est d’autant plus vérifié que parmi eux (petits-fils), certains ont pris les pirogues pour aller à l’aventure en Europe à leur risque et péril. Acte déplorable car croit-il savoir, « les prédécesseurs de l’actuel Khalife comme Serigne Fallou, Baye Lahat, Abdoul Khadre et Serigne Saliou Mbacké ont toujours veillé à ce que les petits-fils de Bamba ne soient pas dans le besoin ou ne manquent de rien. « Triste constat aujourd’hui » se désole Cheikhouna Mbacké qui en appelle à une réorganisation de la gestion du patrimoine de Serigne Touba dont les petits-fils ne devraient pas vivre les dures conditions de la vie. Situation qui n’honore ni le Khalifat, encore moins le pouvoir en place.
Sur l’organisation du grand Magal, notre interlocuteur du jour demande que soient enlevés du comité d’organisation de l’évènement certaines personnes qui ne sont pas de la famille de Serigne Touba. C’est le cas de Ahmed Saloum Dieng dont la présence au cœur du comité d’organisation du Magal est fustigée par Cheikhouna Mbacké.
Abordant la question du développement de la capitale du mouridisme, le marabout Mbacké Mbacké d’indique que les mesures prises par l’Etat de construire un grand hôpital à Touba cache mal une autre urgence d’ordre social. Il s’agit en priorité de la construction d’unités industrielles car dit-il « rien n’explique que Touba qui est la deuxième ville la plus peuplée du Sénégal n’ait pas d’industries qui puissent générer de l’emploi ». Pour lui, la situation actuelle de Touba est marquée par une grave pauvreté. Et dans une ville où le commerce est l’activité principale, il faut bien des infrastructures porteuses de mains d’œuvre pour donner de l’emploi aux jeunes, atténuer le niveau de pauvreté et offrir un pouvoir d’achat aux consommateurs.
Toujours d’attaque, Serigne Cheikhouna Mbacké qui dénonce la non prise en compte de la situation des petits-Touba où des milliards sont injectés est vraiment déçu de la répartition des mannes financières. Ceci est d’autant plus vérifié que parmi eux (petits-fils), certains ont pris les pirogues pour aller à l’aventure en Europe à leur risque et péril. Acte déplorable car croit-il savoir, « les prédécesseurs de l’actuel Khalife comme Serigne Fallou, Baye Lahat, Abdoul Khadre et Serigne Saliou Mbacké ont toujours veillé à ce que les petits-fils de Bamba ne soient pas dans le besoin ou ne manquent de rien. « Triste constat aujourd’hui » se désole Cheikhouna Mbacké qui en appelle à une réorganisation de la gestion du patrimoine de Serigne Touba dont les petits-fils ne devraient pas vivre les dures conditions de la vie. Situation qui n’honore ni le Khalifat, encore moins le pouvoir en place.
Sur l’organisation du grand Magal, notre interlocuteur du jour demande que soient enlevés du comité d’organisation de l’évènement certaines personnes qui ne sont pas de la famille de Serigne Touba. C’est le cas de Ahmed Saloum Dieng dont la présence au cœur du comité d’organisation du Magal est fustigée par Cheikhouna Mbacké.
Abordant la question du développement de la capitale du mouridisme, le marabout Mbacké Mbacké d’indique que les mesures prises par l’Etat de construire un grand hôpital à Touba cache mal une autre urgence d’ordre social. Il s’agit en priorité de la construction d’unités industrielles car dit-il « rien n’explique que Touba qui est la deuxième ville la plus peuplée du Sénégal n’ait pas d’industries qui puissent générer de l’emploi ». Pour lui, la situation actuelle de Touba est marquée par une grave pauvreté. Et dans une ville où le commerce est l’activité principale, il faut bien des infrastructures porteuses de mains d’œuvre pour donner de l’emploi aux jeunes, atténuer le niveau de pauvreté et offrir un pouvoir d’achat aux consommateurs.
Des retards de salaire plus non-paiement du 13e mois : les travailleurs du Groupe Futurs Médias comptent aller en grève
