La question de la libération annoncée de Karim Wade s'est invitée, hier, à la conférence de presse animée par Sanoussy Diakhité, responsable "apériste" à Kolda. Et ce dernier dit n'y voir aucun inconvénient. Car il estime que seul le chef de l'État peut user de ses prérogatives pour grâcier tout prisonnier.
"Monsieur Karim Wade a fait l'objet de condamnation. Il est en prison. Et la grâce présidentielle se manifeste, s'exprime dans des conditions encadrées par notre arsenal juridique au Sénégal. Le président de la République peut faire bénéficier à toute personne ayant fait l'objet de condamnation de grâce", a déclaré Sanoussy Diakhité, dans flashinfos.net
Le Directeur général de l'Office national de la formation professionnelle (Onfp) de soutenir que, si les conditions sont réunies, selon la règlementation, le président de la République a les prérogatives constitutionnelles de grâcier quelqu'un qui a purgé une partie de sa peine. "Depuis le début, vous avez entendu le Président Macky Sall dire qu'il faut qu'on traite cette question comme une affaire de la justice, pas autre chose. Il est resté fidèle à cela. La justice l'a reconnu coupable et l'a condamné. Donc, aujourd'hui, seul le chef de l'État a les prérogatives de faire grâce. Le président de la République, chaque année, fait bénéficier de sa grâce à une centaine de personnes. Et je ne vois pas pourquoi, celui qui a rempli les conditions d'obtenir la grâce, ne puisse pas être libéré" selon, M. Diakhité.
"Monsieur Karim Wade a fait l'objet de condamnation. Il est en prison. Et la grâce présidentielle se manifeste, s'exprime dans des conditions encadrées par notre arsenal juridique au Sénégal. Le président de la République peut faire bénéficier à toute personne ayant fait l'objet de condamnation de grâce", a déclaré Sanoussy Diakhité, dans flashinfos.net
Le Directeur général de l'Office national de la formation professionnelle (Onfp) de soutenir que, si les conditions sont réunies, selon la règlementation, le président de la République a les prérogatives constitutionnelles de grâcier quelqu'un qui a purgé une partie de sa peine. "Depuis le début, vous avez entendu le Président Macky Sall dire qu'il faut qu'on traite cette question comme une affaire de la justice, pas autre chose. Il est resté fidèle à cela. La justice l'a reconnu coupable et l'a condamné. Donc, aujourd'hui, seul le chef de l'État a les prérogatives de faire grâce. Le président de la République, chaque année, fait bénéficier de sa grâce à une centaine de personnes. Et je ne vois pas pourquoi, celui qui a rempli les conditions d'obtenir la grâce, ne puisse pas être libéré" selon, M. Diakhité.
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