On se souvient encore des accusations portées sur le Ministre Cheikh Kanté pour un événement similaire par un membre de l’APR Bruxelles. Et bien bis repetita. La mode chez des pseudo apéristes de la diaspora c’est de se muer en agent de promotion de la destination Sénégal en rassemblant quelques blancs qui ne pèsent un kopeck, de demander des devis à un hôtel, de relier un document avec une liste de Ministres des deux pays et de faire le tour des Directeurs généraux de structures étatiques pour les amener à mettre la main à la poche. Comme ces derniers aiment voyager et se pavaner en Europe, les promoteurs d’un genre nouveau avaient de la matière.
Voilà que l’irréparable s’est produit avec la situation du moment, certaines agences n’ayant même pas de budget disponible et/ou approuvé, des Directeurs d’agence n’ont pas pu ou voulu participer à la « casque de Bruxelles ». Seul l’APIX s’est trouvé à bord avec une mise de prés de cinq mille euros. Voyant les prévisions faussées par la maigre contribution de l’APIX, ces « apéristes », qui n’ont jamais disposé de bulletin de salaires de leur vie et qui n’ont pas connu une vie de rêve dans leur pays d’accueil, ruent dans les brancards pour tenter de diaboliser l'agence de promotion du Sénégal et verser comme toujours dans la menace. Pis, ce promoteur a décrété que le Sénégal a perdu plus de 100 millions d'euros d'investissements avec tous les "puissants hommes d'affaires" qui l'avait réussi à rassembler, il annonce que le Mali et la Gambie souhaitent lui racheter son portefeuille, et bien "Vendez Monsieur!" car nous disposons chez nous de 1.200 Milliards ramenés par le Ministre Amadou Ba lors du dernier eurobond.
Aujourd’hui des pans entiers de notre économie sont entre les mains des apéristes, s’il faut ajouter à cela les maigres ressources disponibles dans nos agences et structures assimilées….. on comprend mieux pourquoi les mouvements de soutien et autres structures naissent tous les jours autour du Président de la République. Le Président doit vraiment rappeler ce principe de son premier discours car il n'est jamais tard pour bien re-faire.