Me El Hadj Amadou Sall, un des avocats de Karim Wade, a indiqué que leur pool prépare le procès du fils de l’ancien Chef de l’Etat avec la sérénité de ceux qui ont la vérité, sans manquer de qualifier ce procès de celui « de la honte et en sorcellerie ».
Il a aussi fait état dans l’arrêt de renvoi, de deux choses graves contenues dans le dossier, à savoir qu’« on a demandé à Karim Wade de répondre du fameux compte de Singapour qui n’existe pas, mais plus grave, jamais il n’a été inculpé ni interrogé sur ce montant. En outre, on cite « Dubaï Ceramics » qui serait une filiale de « Dp Word », alors que rien ne permet de le dire, sauf une simple dénonciation ». « Permettez-moi donc de regarder cela avec un voile de scepticisme » a-t-il clamé durant l’émission du « Grand Jury ». Il a précisé aussi qu’il ne préparait pas l’opinion à une condamnation de Karim Wade.
Quant au rôle de l’ancien président lors du procès de son fils qui s’ouvrira le 31 Juillet prochain, Me sall a indiqué qu’il aura plusieurs postures : « Celle du père qui est la principale, la deuxième c'est celle de l'ancien chef de l’Etat, parce qu'il y a eu beaucoup d’actes commis sous son autorité, et enfin celle du conseil, en tant qu' ancien avocat avec un énorme parcours pendant lequel il a traversé presque tous les plus grands procès en Afrique. On demande ses conseils, mais il ne viendra pas en tant qu’avocat. On verra le moment venu si ce sera comme témoin!»
Concernant le rôle de l’ancien Président Me Abdoulaye Wade sur les accusations du Colonel N'daw et la demande du président du groupe parlementaire BBY de l’Assemblée Nationale pour l'auditionner à ce sujet, "une grosse pagaille en perspective!" a répondu Me Sall.
Selon lui, avec cette affaire, c’est le Sénégal qui perd en crédibilité, en stabilité et en unité nationale. « J’apprends que l’on veut entendre un ancien président qui est irresponsable juridiquement. Une commission de l’assemblée nationale ne peut pas entendre un ancien President, cela ne se fait pas et ne se fera pas. S’ils veulent entendre tous nos généraux et nos soldats sur place qu’est-ce que c'est cette pagaille? Ce sont des problèmes d’unité nationale dont il s'agit, à ce jeu-là, il n’y a que le Sénégal qui perd »
Il a aussi fait état dans l’arrêt de renvoi, de deux choses graves contenues dans le dossier, à savoir qu’« on a demandé à Karim Wade de répondre du fameux compte de Singapour qui n’existe pas, mais plus grave, jamais il n’a été inculpé ni interrogé sur ce montant. En outre, on cite « Dubaï Ceramics » qui serait une filiale de « Dp Word », alors que rien ne permet de le dire, sauf une simple dénonciation ». « Permettez-moi donc de regarder cela avec un voile de scepticisme » a-t-il clamé durant l’émission du « Grand Jury ». Il a précisé aussi qu’il ne préparait pas l’opinion à une condamnation de Karim Wade.
Quant au rôle de l’ancien président lors du procès de son fils qui s’ouvrira le 31 Juillet prochain, Me sall a indiqué qu’il aura plusieurs postures : « Celle du père qui est la principale, la deuxième c'est celle de l'ancien chef de l’Etat, parce qu'il y a eu beaucoup d’actes commis sous son autorité, et enfin celle du conseil, en tant qu' ancien avocat avec un énorme parcours pendant lequel il a traversé presque tous les plus grands procès en Afrique. On demande ses conseils, mais il ne viendra pas en tant qu’avocat. On verra le moment venu si ce sera comme témoin!»
Concernant le rôle de l’ancien Président Me Abdoulaye Wade sur les accusations du Colonel N'daw et la demande du président du groupe parlementaire BBY de l’Assemblée Nationale pour l'auditionner à ce sujet, "une grosse pagaille en perspective!" a répondu Me Sall.
Selon lui, avec cette affaire, c’est le Sénégal qui perd en crédibilité, en stabilité et en unité nationale. « J’apprends que l’on veut entendre un ancien président qui est irresponsable juridiquement. Une commission de l’assemblée nationale ne peut pas entendre un ancien President, cela ne se fait pas et ne se fera pas. S’ils veulent entendre tous nos généraux et nos soldats sur place qu’est-ce que c'est cette pagaille? Ce sont des problèmes d’unité nationale dont il s'agit, à ce jeu-là, il n’y a que le Sénégal qui perd »
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