Les détenus de la Maison d'arrêt et de correction de Mbacké ont mis fin à leur grève de la faim déclenchée depuis mercredi dernier. Cela, suite à une médiation de responsables de la sécurité au niveau départemental, mais aussi de bonnes volontés comme Serigne Galass Amina fils de Serigne Bara Fallilou.
A l'origine de leur mouvement d'humeur qui a duré 72h, des détenus sous le couvert de l'anonymat ont envoyé des messages aux correspondants de presse locaux pour déplorer le fait que les heures de cour aient été réduites. Ainsi, poursuivent-ils, avec cette période de forte canicule, ils n'arrivent pas à tenir dans les chambres qui sont surpeuplées. Ce qui fait que beaucoup de détenus tombent en syncope. Ils disent aussi que les rations sont réduites et qu'ils mangent des aliments de très mauvaise qualité. Le régisseur de la prison qui s'est confié à des confrères de la presse locale à Mbacké balaie d'un revers de main ces accusations formulées par les détenus. Il parle de quelques malentendus qui n'ont occasionné rien de grave et rien de perturbant au niveau de la Maison d'arrêt et de correction de Mbacké.
A l'origine de leur mouvement d'humeur qui a duré 72h, des détenus sous le couvert de l'anonymat ont envoyé des messages aux correspondants de presse locaux pour déplorer le fait que les heures de cour aient été réduites. Ainsi, poursuivent-ils, avec cette période de forte canicule, ils n'arrivent pas à tenir dans les chambres qui sont surpeuplées. Ce qui fait que beaucoup de détenus tombent en syncope. Ils disent aussi que les rations sont réduites et qu'ils mangent des aliments de très mauvaise qualité. Le régisseur de la prison qui s'est confié à des confrères de la presse locale à Mbacké balaie d'un revers de main ces accusations formulées par les détenus. Il parle de quelques malentendus qui n'ont occasionné rien de grave et rien de perturbant au niveau de la Maison d'arrêt et de correction de Mbacké.
Attributions du ministre de la Santé et de l'Action sociale : Bassirou Diomaye Faye délimite le champ d'action d’Ibrahima Sy
