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Non messieurs! L’avancée de la mer n’est pas corrélée au réchauffement anthropogénique : une rumeur non prouvée


Non messieurs! L’avancée de la mer n’est pas corrélée au réchauffement anthropogénique : une rumeur non prouvée
L’une des hypothèses les plus alarmistes utilisée par les défendeurs du réchauffement climatique anthropogénique repose sur l’avancée de la mer. Ceci représente un illogisme quant à la réalité des mécanismes géodynamiques externes qui gouvernent notre planète depuis des millénaires. Je ferai ici un bref développement de quelques causes possibles de l’avancée de la mer afin de donner au lecteur un aperçu de l’ampleur global du phénomène.   
Attention ! Le réchauffement climatique anthropogénique n’existe pas. C’est de l’arnaque   
L’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années révèle qu’il y a eu cinq pics de hausse des températures durant ces 10 000 dernières années, comparables à celui que nous vivons présentement. Ces optima correspondent à des cycles naturels observables dans les faciès anciens. Par exemple en Afrique, lors des deux premiers optima, le désert du Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Des fouilles archéologiques ont découvert des restes d’os de crocodiles et d’animaux tropicaux dans le Sahara. En Europe, au Moyen Age, la plupart des glaciers de montagnes avaient disparu durant ces hausses de températures millénaires laissant place à des pâturages florissants pour les troupeaux (Vallée d’Aoste, Arolla).  En ces temps, il faisait 7 degrés plus chaud qu’aujourd’hui. Et les industries à fossiles carboniques n’existaient pas encore.    
D’autre part, la concentration en CO2 (un gaz vital considéré à tort comme un poison par les catastrophistes) est en quantité très négligeable dans l’atmosphère terrestre. Il constitue 0,39% en volume dans l’atmosphère dont moins de 0,28% est imputable à l’homme. Par exemple, pour un million de molécules d’air, existent seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Chaque année, nos industries rajoutent 4 molécules de CO2 pour chaque million d’air. La moitié de cette quantité est absorbée par les  océans et les plantes aquatiques et terrestres. Alors comment peut on comprendre que cette infime proportion venant de l’homme peut-elle constituer une menace inquiétante pour l’humanité ? Ensuite, la température de la Terre est de 15oC en moyenne alors que celle de l’atmosphère (supposée polluée de CO2) vacille entre -30oC à -40C. De ce fait, avec de telles températures, comment cette atmosphère froide peut-elle réchauffer la terre qui est plus chaude qu’elle ? Revisitons un principe élémentaire de la thermodynamique qui énonce que « la chaleur va toujours vers le froid et jamais le sens inverse. »   
Aujourd’hui, nombreux sont les scientifiques qui s’opposent à cette spéculation absurde et arbitraire du réchauffement climatique produit par l’homme et dénuée de fondement scientifique. Rien qu’aux Etats Unis, 31 072 scientifiques parmi les plus renommés ont signé la « Pétition Project » (http://www.petitionproject.org) pour contester cette dictature du changement climatique. Ils considèrent cette propagande comme un prétexte de taxations et de promotion de projets d’énergie renouvelables très coûteux et inopérants pour le moment. Rappelons que2500 scientifiques ont agréé le protocole de Kyoto, y compris leur personnel. C’est au nom de cette intoxication qu’est organisée la Conférence de Paris sur le climat en Décembre 2015, dont le G7 s’est fait le propagandiste. Il n’y a aucune preuve scientifique convaincante que la libération par l’activité humaine de dioxyde de carbone, de méthane, ou d’autres gaz de serre est à l’origine ou provoquera dans un avenir prévisible un réchauffement catastrophique de l’atmosphère et la perturbation du climat de la Terre au point d’engendrer la fonte des calottes polaires et donc la montée de la mer recouvrant nos villes.  C’est de la pure supercherie. 
L’élévation du niveau des océans 
Oui, le niveau des océans a toujours fluctué au cours des ères et continue ces variations. Les mesures satellitaires de la NASA ont montré que l’eau de la mer s’élève entre de 2 à 3 mm par an soit 30 cm par 100 ans, et même dans certaines régions du globe il y a une baisse de niveau de la mer. La propagande officielle véhiculée à tous vents par les catastrophistes qui soutiennent que « l’avancée de la mer est due au réchauffement climatique anthropogénique à cause de l’utilisation excessive de carburants fossiles et des déforestations » est fausse. Avec ou sans nous, les agresses côtières, tributaires de mouvements tectoniques et des changements climatiques contrôlés par des cycles solaires que nous ne comprenons pas tout à fait encore, se produiraient tout de même. Les océans occupent 75% de la surface terrestre et reçoivent la grande part des radiations solaires. Ils peuvent donc se réchauffer naturellement. Ce réchauffement peut générer une élévation du niveau de la mer par la dilatation de l'eau (expansion thermique) ou par le surplus d’eau résultant d’une éventuelle fonte des glaces terrestres. 
  
Dilatation de l’eau des océans     
L'eau des océans se dilatent en chauffant. Ce qui provoque une augmentation de son volume, et donc une élévation de niveau dans leur réservoir. Les changements de température de l'eau des océans ont donc une influence sur les variations de leur niveau. On peut cependant noter un retard de plusieurs mois correspondant au laps de temps nécessaire à la température pour se diffuser depuis la surface jusque dans les profondeurs.   
Non, il n’y a pas de fonte alarmante des glaces terrestres        
Aucune des données satellitaires climatiques (américaines, russes, indiennes et chinoises) n’a montré une hausse de température depuis 1996. La courbe de température plate obtenue durant ces 17 dernières années a anéantis tous les modèles datant depuis 1950 qui n’étaient que des créations de vendeurs de fiction pour apeurer l’humanité. Car même l’année 2014 qu’ils prévoyaient la plus chaude durant cette même période ne l’était pas. Au contraire, la Terre a connu des records de basses températures exceptionnelles et même parfois anecdotiques. D’après les photographies satellitaires de la NASA qui observe les Pôles terrestres depuis 1979, il n’y a aucune fonte alarmante ni des calottes polaires ni de la Banquise. Les hivers australs des dix dernières années ont même envahi une partie importante de l’océan Antarctique. Les données satellitaires récentes sur les glaces de l’Antarctique ont atteint, pour la première fois depuis 35 ans, une surface de plus de 20 millions de km² et plus précisément 20,11 millions de km² le 22 septembre 2013 (données vérifiables sur le site de la NASA). En Arctique, les données obtenues par le satellite européen Cryosat indiquent environ 9 000 km³ de glace à la fin de la saison de la fonte 2013 par rapport à l’année 2012 où le volume total s’élevait à environ 6 000 km³. Les ours polaires ne se sont jamais aussi bien portés non plus.     
Non, la fonte de la Banquise n’entraine pas l’élévation du niveau de la mer 
La densité de la glace est inférieure à celle de l’eau douce et de l’eau de mer.  Pour illustration, prenez un glaçon que vous mettez dans un verre rempli d’eau et marquez au feutre le niveau de l’eau. Si vous attendez la fonte du glaçon, vous remarquerai que le niveau de l’eau n’a pas augmenté dans le verre. La partie immergée des Icebergs ont le même volume que la totalité de l’eau dudit Iceberg une fois fondue (Théorème d’Archimède). Par conséquent, la fonte de la Banquise n’a aucune incidence sur le niveau de la mer. Autrement dit, la fonte de la Banquise n’est pas un problème en termes de niveau côtier des mers. Le volume de glace perdu est plus ou moins compensé par les apports de précipitations sur les terres polaires. 
Plusieurs autres paramètres influent sur le niveau de la mer : les processus tectoniques, les tremblements de terre, les déplacements des continents, les flux de vents, les volcans, l’érosion marine, les activités humaines, les changements dans les régimes des vents, la pression atmosphérique, la circulation des courants marins, l’urbanisation excessive, l’utilisation abusive des nappes phréatiques, entre autres.  
Conclusion 
Aujourd’hui le « changement climatique » est devenu un panier fourre-tout utilisé par le « Secte de la fin du Monde » dirigé par Al Gore pour tout justifier, quand «le climat change, le climat se réchauffe, se refroidit, devient plus sec ou plus humide, les inondations, la sécheresse, la famine, ou les agresses côtières... etc... »   
La taxe carbone est née lors du fameux « protocole de Kyoto » en 1997 pour inciter les entreprises à moins polluer. Cependant, l’instauration des « quotas » vite appelés « droits à polluer », pour soi-disant rendre le procédé plus efficace, a abouti à la création de la bourse du carbone en 2005. Qui dit bourse dit échange. Et voila ! On est loin de l’objectif initial de sauver la planète. Cette astuce, qui n’était que le paravent d’une démarche « capitaliste » beaucoup plus dissimulée, a permis aux entreprises les moins pollueuses de revendre une partie de leurs quotas aux plus pollueuses. Ceci constitue-il une démarche à faire régresser la pollution dans le monde? En tout cas, voilà une dérive généralisée de transactions boursières à plusieurs milliards de Dollars qui consiste à terme à financiariser d’importants fonds sous le prétexte de « préserver l’avenir », résolument payé par un public et les pays pauvres non-avertis et toujours trompés.   
         La grande réunion prévue à Paris en décembre sur le climat ne servira que de cadre pour perpétuer ce mensonge d’une hypothèse scientifiquement fausse. Et nos dirigeants africains doivent être avertis pour ne pas être appâtés, comme d’habitude, par les promesses de fonds « écolos dollars » qu’eux même ont du mal à amasser. Tout le monde sait que l’Occident a succombé, tué par la consistance d’une tragique crise économique sans précédent. De qui se moquent-t-ils ? 
Dr ARONA COUMBA N’DOFFENE DIOUF 
Diplômé Double PhD, Sciences de la Terre et de l’Environnement à l’Université d’Etat de la Ville de New York - City University of New York (CUNY – Graduate Center) - Récipiendaire de la Médaille USA Transatlantique Leadership Award in Science 2014 (Etats Unis)


Jeudi 19 Novembre 2015 - 04:22





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