Tout le monde guettait sa réaction depuis que Sonko a été convoqué devant le conseil de discipline de la Fonction publique. Finalement, c'est ce vendredi matin que le président de la majorité parlementaire, Moustapha Diakhaté, "le lanceur d'alerte contre Ousmane Sonko", s'est exprimé sur l'affaire récente de l'inspecteur des impôts.
Dakaractu qui avait relayé exclusivement le bras de fer entre Sonko et Diakhaté, vous livre la déclaration du président du groupe Benno Bokk Yakaar et principal pourfendeur du leader de Pastef.
" Affaire SONKO : le printemps des insincérités-par Moustapha Moustapha Diakhaté
Prendre pour de l’arbitraire, de l’acharnement l’application de la loi 61-33 portant statut général de la fonction publique, le Code général des impôts et des domaines, le code pénal et le code de déontologie des agents des impôts et des domaines, c’est insulter l’intelligence des Sénégalais.
C’est la République et l’Etat de droit que nous défendons. Contrairement aux pseudos journalistes et à la fausse société civile, notre indignation n’est pas sélective. Il n’est pas question d’accepter pour un fonctionnaire ce que les manifestants du 23 juin ont refusé au Président Abdoulaye WADE : violer la loi."
Dakaractu qui avait relayé exclusivement le bras de fer entre Sonko et Diakhaté, vous livre la déclaration du président du groupe Benno Bokk Yakaar et principal pourfendeur du leader de Pastef.
" Affaire SONKO : le printemps des insincérités-par Moustapha Moustapha Diakhaté
Prendre pour de l’arbitraire, de l’acharnement l’application de la loi 61-33 portant statut général de la fonction publique, le Code général des impôts et des domaines, le code pénal et le code de déontologie des agents des impôts et des domaines, c’est insulter l’intelligence des Sénégalais.
C’est la République et l’Etat de droit que nous défendons. Contrairement aux pseudos journalistes et à la fausse société civile, notre indignation n’est pas sélective. Il n’est pas question d’accepter pour un fonctionnaire ce que les manifestants du 23 juin ont refusé au Président Abdoulaye WADE : violer la loi."