« J’ai déjà concrétisé avec lui. Il doit venir ici, car il ne reste que des formalités », c’est l’assurance faite par Rocky Balboa aux confrères de « le Populaire ».Pour plaire aux amateurs sur ce combat ficelé par le promoteur Aziz Ndiaye, poursuit-il, l’aspect mystique doit être laissé de côté. « Je ne crois pas au mystique. Je n’y pense pas. Ceux qui m’entourent vont s’en charger. J’ai fait 15 ans en Casamance… », avertit le fils du Colonel Bakay Koné. Pensionnaire de l’équipe de lutte de la Suisse, Balboa croisera, le 15 février prochain à Bercy un nigérien à l’occasion de la fête des arts-martiaux.
Lutte : l’adversaire de Reug Reug connu
