Pour les ex-rebelles de la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), l'exigence reste inchangée : les combattants du Gatia doivent quitter la ville. Des discussions portant sur l'implication du Gatia dans la gestion et dans la sécurisation de Kidal avaient déjà été initiées, et la CMA y est toujours favorable. Mais en attendant qu'un accord soit trouvé sur le sujet, les ex-rebelles, qui contrôlent toujours la ville, affirment « ne pas être d'accord avec la façon cavalière et inattendue dont le Gatia a pénétré dans Kidal ».
La demande de retrait ne concerne que la branche militaire du Gatia : les civils et les représentants politiques étaient déjà bienvenus auparavant, ils le restent.
Du côté du Gatia, on évoque plutôt l'idée d'un retrait partiel. Au moins une cinquantaine de pickups chargés d'hommes armés sont arrivés à Kidal. « Nous ne sommes pas contre l'idée de réduire notre présence », affirme un chef du Gatia, qui assure vouloir trouver une solution qui satisfasse tout le monde.
La tension demeure donc, mais aucun incident n'est à signaler dans la ville entre les deux groupes, dont les chefs poursuivent pacifiquement leurs échanges.
La demande de retrait ne concerne que la branche militaire du Gatia : les civils et les représentants politiques étaient déjà bienvenus auparavant, ils le restent.
Du côté du Gatia, on évoque plutôt l'idée d'un retrait partiel. Au moins une cinquantaine de pickups chargés d'hommes armés sont arrivés à Kidal. « Nous ne sommes pas contre l'idée de réduire notre présence », affirme un chef du Gatia, qui assure vouloir trouver une solution qui satisfasse tout le monde.
La tension demeure donc, mais aucun incident n'est à signaler dans la ville entre les deux groupes, dont les chefs poursuivent pacifiquement leurs échanges.