Le premier ministre Mouhamed Dionne qui représentait le chef de l’Etat lors de la remise du Prix Kéba Mbaye de l’éthique à Lilian Thuram, a exhorté les agents et fonctionnaires de l’Etat a cultivé un comportement éthique dans la gestion des affaires publiques. Notant qu’elle est une attitude positive qui sied à toutes les circonstances de la vie. « Cette cérémonie ne serait belle si nous n'en tirons pas une leçon, nous devons réfléchir sur le sens et la portée de ce qui nous réunit. La finalité de l’éthique n’est pas le paraître, mais l’être, dans ce qu’il symbolise de plus noble, elle s'exprime par le savoir être un comportement respectueux des êtres, de la bienséance, de la justice. C’est une attitude positive qui sied à toutes les circonstances de la vie. Le chef de l’Etat a appelé a la restauration des valeurs républicaines, il nous faut opérer une rupture dans la façon de nous comporter, notamment vis-à-vis de la chose publique, désormais nous devons mettre en avant l’intérêt général au dessus des intérêts particuliers. Il s’avère d’appliquer l’éthique dans les domaines fondamentaux de la chose publique. Et les fonctionnaires et autres agents que nous sommes devraient avoir un comportement éthique dans la gestion des affaires publiques » dira t-il.
Mahammed Dionne, premier à s’adresser au récipiendaire du prix de lui signifier que pour l’ensemble de son œuvre, il mérite cette distinction en tant qu'homme de bonne volonté engagé au service de noble cause notamment la protection de l’enfant mais aussi la lutte contre le fléau du racisme. Mais aussi en tant qu’intellectuel et écrivain. « Vous incarnez ces valeurs élevées dans u monde en perte de repère. Choix ne saurait être plus judicieux » dira Mahammed Dionne.
Racontant une anecdote qu’il a vécue le Premier ministre d’ajouter à l’endroit de Lilian Thuram qu’il était « sénégalais » parce que chez une nation debout pour l’éthique. « En rentrant de Kaffrine, je suis allé a la maison pensant pouvoir prendre quelques moments de repos, et je suis tombé sur une télévision qui passait la leçon inaugurale du juge Kéba M'baye à l’université Cheikh Anta Diop et dans votre livre ce qui m’a marqué c’est le destin de ces grandes personnalités qui vous aide à rester debout. Le juge disait que deux mots le marquaient dans l'hymne national « sénégalais debout », et c'est en cela, parce que vous êtes debout que vous « êtes sénégalais ». Parce que ce pays restera toujours debout grâce à l’éthique. Et la condition sine qua non de l’émergence c’est l’éthique. Les sénégalais poursuivront ce combat du Président Kéba M'baye pour un Sénégal debout » dira le successeur d’Abdoul M'baye, un des enfants du feu juge...
Mahammed Dionne, premier à s’adresser au récipiendaire du prix de lui signifier que pour l’ensemble de son œuvre, il mérite cette distinction en tant qu'homme de bonne volonté engagé au service de noble cause notamment la protection de l’enfant mais aussi la lutte contre le fléau du racisme. Mais aussi en tant qu’intellectuel et écrivain. « Vous incarnez ces valeurs élevées dans u monde en perte de repère. Choix ne saurait être plus judicieux » dira Mahammed Dionne.
Racontant une anecdote qu’il a vécue le Premier ministre d’ajouter à l’endroit de Lilian Thuram qu’il était « sénégalais » parce que chez une nation debout pour l’éthique. « En rentrant de Kaffrine, je suis allé a la maison pensant pouvoir prendre quelques moments de repos, et je suis tombé sur une télévision qui passait la leçon inaugurale du juge Kéba M'baye à l’université Cheikh Anta Diop et dans votre livre ce qui m’a marqué c’est le destin de ces grandes personnalités qui vous aide à rester debout. Le juge disait que deux mots le marquaient dans l'hymne national « sénégalais debout », et c'est en cela, parce que vous êtes debout que vous « êtes sénégalais ». Parce que ce pays restera toujours debout grâce à l’éthique. Et la condition sine qua non de l’émergence c’est l’éthique. Les sénégalais poursuivront ce combat du Président Kéba M'baye pour un Sénégal debout » dira le successeur d’Abdoul M'baye, un des enfants du feu juge...
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