Le professeur Mary Teuw Niane présidait la cérémonie officielle d’ouverture du premier colloque international sur l’assurance qualité de l’enseignement supérieur en Afrique francophone.
L’enseignement supérieur a beaucoup contribué au rayonnement du pays, a indiqué le Pr Niane qui a rappelé que le Sénégal a commencé à réfléchir sur les questions de réformes depuis plusieurs années.
Nous avons réussi à mettre en place le projet de gouvernance et de financement de l’enseignement supérieur axé sur les résultats (PGF-SUP) avec le soutien de la Banque mondiale, a relevé le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Avec ce projet, des contrats de performance ont été signés entre les institutions d’enseignement supérieur, particulièrement les cinq universités publiques et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
De tels engagements permettent d’améliorer la qualité, l’efficacité interne, de renforcer l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, la gouvernance et l’amélioration des relations entre les institutions d’enseignement supérieur et le monde socioéconomique, a soutenu le Pr Niane.
"Toutes ces réformes traduisent la volonté de l’Etat du Sénégal de faire de son enseignement supérieur le moteur de son développement socioéconomique et une référence sous-régionale et internationale", a estimé Mary Teuw Niane.
Cette rencontre de trois jours sur le thème : "Bilan, bonnes pratiques et perspectives" a réuni, en plus du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur, des experts d’institutions internationales et africaines de l’enseignement supérieur et de l’assurance qualité.
"Pour en arriver là, on avait besoin d’un cadre qui a déjà été fixé à travers la loi sur le système LMD (licence-master-doctorat) et ensuite des décrets qui définissent le cadre général de la licence, du master et du doctorat", a indiqué le Pr Mary Teuw Niane.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, "c’est dans le cadre de la mise en œuvre de cette réforme que l’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur (ANAQ-SUP) a été mise en place".
’"Cette autorité, autonome, a pour mission l’évaluation aussi bien institutionnelle que des filières, l’accréditation des établissements publics et privés. Parce que l’objectif du Sénégal, à travers les onze décisions présidentielles du 14 août 2014, est de hisser l’ensemble de notre système au niveau des standards internationaux. Et pour cela, l’assurance qualité joue un rôle très important", a-t-il fait valoir.
L’enseignement supérieur a beaucoup contribué au rayonnement du pays, a indiqué le Pr Niane qui a rappelé que le Sénégal a commencé à réfléchir sur les questions de réformes depuis plusieurs années.
Nous avons réussi à mettre en place le projet de gouvernance et de financement de l’enseignement supérieur axé sur les résultats (PGF-SUP) avec le soutien de la Banque mondiale, a relevé le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Avec ce projet, des contrats de performance ont été signés entre les institutions d’enseignement supérieur, particulièrement les cinq universités publiques et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
De tels engagements permettent d’améliorer la qualité, l’efficacité interne, de renforcer l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, la gouvernance et l’amélioration des relations entre les institutions d’enseignement supérieur et le monde socioéconomique, a soutenu le Pr Niane.
"Toutes ces réformes traduisent la volonté de l’Etat du Sénégal de faire de son enseignement supérieur le moteur de son développement socioéconomique et une référence sous-régionale et internationale", a estimé Mary Teuw Niane.
Cette rencontre de trois jours sur le thème : "Bilan, bonnes pratiques et perspectives" a réuni, en plus du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur, des experts d’institutions internationales et africaines de l’enseignement supérieur et de l’assurance qualité.
"Pour en arriver là, on avait besoin d’un cadre qui a déjà été fixé à travers la loi sur le système LMD (licence-master-doctorat) et ensuite des décrets qui définissent le cadre général de la licence, du master et du doctorat", a indiqué le Pr Mary Teuw Niane.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, "c’est dans le cadre de la mise en œuvre de cette réforme que l’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur (ANAQ-SUP) a été mise en place".
’"Cette autorité, autonome, a pour mission l’évaluation aussi bien institutionnelle que des filières, l’accréditation des établissements publics et privés. Parce que l’objectif du Sénégal, à travers les onze décisions présidentielles du 14 août 2014, est de hisser l’ensemble de notre système au niveau des standards internationaux. Et pour cela, l’assurance qualité joue un rôle très important", a-t-il fait valoir.
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