L'institut d'émission signale que ce solde était déficitaire en 2013 de 26,5 milliards FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0016 dollar). La balance des paiements est un état statistique qui retrace sous une forme comptable l'ensemble des flux d'actifs réels, financiers et monétaires entres les résidents d'une économie et les non-résidents au cours d'une période déterminée.
Selon la BCEAO, « ce profil est lié à une amélioration du déficit du compte courant et du compte capital, combinée à une mobilisation importante de capitaux étrangers ».
Structurellement excédentaire, le compte de capital a contribué à l'atténuation du besoin de financement évalué à 449,8 milliards FCFA en 2014 contre 584 milliards FCFA en 2013. Quant au solde du compte financier, hors variation des avoirs extérieurs nets du système monétaire, il est arrêté à 663,1 milliards FCFA contre 551,8 milliards FCFA un an plus tôt.
Pour sa part, la position extérieure globale nette (représentant le patrimoine net vis-à-vis de l'extérieur), elle s'est dégradée de 2,1 points de pourcentage du produit intérieur brut (PIB), ressortant à moins 56,7 % en 2014.
« S'agissant des comptes extérieurs, souligne la BCEAO, leur profil reste caractérisé par un déficit des transactions courantes arrêté à 665,9 milliards FCFA contre 765,5 milliards FCFA en 2013, en repli de 13%, sous l'effet d'une amélioration de la balance commerciale et d'une hausse de l'excédent du revenu secondaire ».
Selon la BCEAO, « ce profil est lié à une amélioration du déficit du compte courant et du compte capital, combinée à une mobilisation importante de capitaux étrangers ».
Structurellement excédentaire, le compte de capital a contribué à l'atténuation du besoin de financement évalué à 449,8 milliards FCFA en 2014 contre 584 milliards FCFA en 2013. Quant au solde du compte financier, hors variation des avoirs extérieurs nets du système monétaire, il est arrêté à 663,1 milliards FCFA contre 551,8 milliards FCFA un an plus tôt.
Pour sa part, la position extérieure globale nette (représentant le patrimoine net vis-à-vis de l'extérieur), elle s'est dégradée de 2,1 points de pourcentage du produit intérieur brut (PIB), ressortant à moins 56,7 % en 2014.
« S'agissant des comptes extérieurs, souligne la BCEAO, leur profil reste caractérisé par un déficit des transactions courantes arrêté à 665,9 milliards FCFA contre 765,5 milliards FCFA en 2013, en repli de 13%, sous l'effet d'une amélioration de la balance commerciale et d'une hausse de l'excédent du revenu secondaire ».
La posture de l’État face au FMI : « Nous comptons d’abord sur [nos] propres moyens »
