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Le fétichisme judiciaire engendre le délit de richesse !


‘’ La justice, cette forme endimanchée de la vengeance.’’ - Stephen Hecquet.

Suite à son inaptitude à apporter des solutions appropriées aux lancinants problèmes des sénégalais, cette gouvernance de communication a pris la coutume éhontée d’instrumentaliser les atroces souffrances du peuple à des fins de règlement de compte politique. Pour encolérer, la population sénégalaise de plus en plus contrainte au jeûne quotidien, les tenants du pouvoir en panne de projet politique ont engagé le pari suicidaire d’axer cette incitation hystérique à la haine, à travers des lapidations médiatico-juridiques, contre les dignitaires du PDS. La justice, en s’enlisant dans des dérives démagogiques, est devenue la corde vocale pour conditionner, à coups de matraquage médiatique, l’inconscient collectif de l’opinion publique malheureusement avide de commérages stériles.

Comme si la mission première de l’impérium judiciaire est de s'ériger en activiste chevronné pour exécuter les ordres clandestins de ce gouvernement liberticide. Dans un état de servitude ignominieux, le bambin Serigne Bassirou Gueye pourtant procureur de la république, continue de ramper à pas de mille pattes sous la tutelle de la demoiselle Aminata Touré. Comme s’il ne pouvait pas se départir des suppositoires iniques à tendance politique, qu’il ne cesse de recevoir par son derrière, de cette dernière.

A force de vouloir contenter les fantasmes de cette demoiselle divorcée à quatre maris différents, ce fieffé menteur a fait étalage d’un niveau d’inculture juridique pathétique. Le premier acte posé par ce racoleur juridique qui n’a rien à envier aux belles de nuit, a été de tordre le cou au droit en libérant le lâche et peureux criminel Barthélemy DIAZ, qui a avoué publiquement avoir descendu un citoyen sénégalais simplement parce qu’il est atteint de la paranoïa. Ce kamikaze du droit, adepte justicier du ventre, n’a fait fait qu’illustrer cette théâtralisation outrageuse de cette justice à géométrie variable puisqu’en matière de rectitude, l’aveu, le témoignage, le serment et la présomption, sont les principales sources de preuves.

Porté par un zèle démesuré, cet incurable prostitué juridique foulera allégrement du pied les prescrits de la législation sénégalaise en mettant arbitrairement aux arrêts la femme du frère Bara Gaye, qui avait momentanément suspendu une convocation de cette justice politique pour le délit loufoque d’offense au fessu Macky SALL. Ce second acte consécutif constitue une parjure bestiale car même les non-initiés en droit savent que la responsabilité pénale est personnelle. C’est-à-dire qu’un individu ne peut pas croupir en prison pour un délit commis par un proche, parent ou ami. En faisant triompher l’illégalité pour se donner un brin d’autorité, ce pirate du droit a fait montre d’une mauvaise foi manifeste, perdant par ce fait tout semblant de crédibilité.

En se soumettant aux désidératas de son mentor au détriment des prescrits légaux, cet alchimiste du droit a atteint l’apogée de la démence en termes de mensonge et d’atteintes à la dignité d’honnête citoyen. Ce braconnier du droit en recourant à ces actes de forfaiture, démontre à n’en point douter qu’il serve de caisse de résonance à la détraquée de la primature.

La demoiselle divorcée à quatre maris différents garde toujours à travers la gorge l’échec de son premier ménage qu’elle impute à la cousine de son ex-mari, Aida Ndiongue. Pour mieux dissimuler cette vendetta, la demoiselle Aminata Touré a jugé indispensable de se débarrasser de l’ex procureur, Ousmane Diagne, dans l’espoir cynique de s’appuyer sur sa béquille, Serigne Bassirou Gueye. Cette farce judiciaire mise en scène, a eu raison du procureur Ousmane Diagne, qui a refusé d’être en mission télécommandée auprès de la déséquilibrée. Ce magistrat n’avait pas jugé nécessaire de gruger les libertés publiques de la sénatrice, Aida Ndiongue.

Alors que son prédécesseur avait confiné sous contrôle judiciaire cette femme d’affaire car n’ayant aucun élément probant de culpabilité à son encontre, le gangrené Serigne Bassirou Gueye va trouver le moyen astucieux d’enfreindre la loi en dessaisissant le doyen des juges de ce dossier pour le confier au juge du deuxième cabinet plus malléable et corvéable à merci. Ces deux magistrats corrompus jusqu’à la lie, vont ainsi incriminer arbitrairement pour détournement de deniers publics, dans la gestion des produits phytosanitaires du plan jaxxay portant sur la somme de 20 milliards 688 millions CFA, cette brave femme d’affaires qui n’a fait que soumissionner légalement à des marchés publics.

Après l’avoir séquestré sur la base de fausses accusations étant donné qu’aucun préjudice n’a été établi dans les marchés dont elle a licitement bénéficié des suites d’un appel d’offre. Et sur tous ces travaux réalisés, elle n’est ni poursuivie pour surfacturation, ni pour gré à gré. Fait confirmé le par le cancrelat Serigne Bassirou Gueye, qui certifiait au cours de sa campagne d’intoxication, que ‘’ tous ces montants qui ont été trouvés ne concernent aucun marché de produits phytosanitaires.’’

Toutefois, il sera vite contredit par le porte-parole du gouvernement, Abdou Latif Coulybaly, cinq jours plus tard. En tentant de justifier l’injustifiable le ministre de la bonne gouvernance attestera que ‘’ les faits concernent seulement l'affaire des produits phytosanitaires pour laquelle des marchés publics lui auraient été attribués.’’
Cette divagation révélatrice de Latif Coulybaly ne fait qu’étayer les contrevérités déconcertantes du suppôt Serigne Bassirou Gueye. Lors de son élucubration à haute teneur toxique, ce mythomane soit disant procureur de la république, s’est noyé dans ses mélodies truffées d’incohérences et de mensonges grossiers. Ivre du désir de vomir tout le mal qu’il pense de la sénatrice, Aida Ndiongue, cet alchimiste du droit tracera au compas et à l’équerre des accusations tout à fait insoutenables, en déblatérant que ‘’ l’importance des flux financiers que nous avons constatés ont montré que 23 milliards 400 millions FCFA lui appartenant étaient dans une institution financière de la place.’’

En voulant donner l'impression d’avoir trouvé un trésor de guerre, ce prostitué juridique n’a fait que patauger dans ses faisceaux de mensonge puisque déjà le 17 décembre 2013, il affirmait que ‘’ les enquêteurs ont retracé dans les comptes de Aïda Ndiongue des versements par chèque et des virements bancaires d’un montant total avoisinant la somme de 20 milliards de francs CFA.’’

Ce qui revient à corroborer les dires de Latif Coulybaly. Le mythomane procureur pour abuser des sénégalais n’a fait que recycler les accusations oniriques pour lesquelles cette mère de famille a été méchamment jetée en prison car il s’agit des mêmes mouvements financiers. Raison pour laquelle il a voulu fabriquer de nouvelles preuves en les présentant comme des faits nouveaux. Tout le reste n’a été que saupoudrage de mauvais goût car il fallait échanger cet oripeaux par de nouveaux habits pour rendre plus délicieux le mets tout en sachant que le corps du délit reposant sur du faux reste le même.

Pour preuve les avocats de cette brave dame ont affirmé, document à l’appui que ‘’ le procureur n'a jamais vu un seul bijou appartenant à notre cliente. Les coffres dont on nous parle ne lui appartiennent même pas.’’ Ce fait revient à confirmer que les 8 milliards de FCFA retrouvés dans les coffres fort, les bijoux évalués par leurs stagiaires à 12 milliards et le reste des milliards de FCFA trouvés dans des enveloppes relevaient de l’escroquerie juridique, d’un procureur notoirement connu pour ses affabulations fictives.

Si nous procédons à un petit calcul élémentaire, nous nous rendrons compte que sur les 47 milliards pour lesquels cette digne femme est fallacieusement mise aux arrêts, seul les 23 milliards de FCFA 400 millions FCFA pour lesquels le fabulateur, Serigne Bassirou Gueye, dispose des documents bancaires semble consistant. Et cette somme-là, ne concerne ni plus ni moins que les transactions enregistrées lors de l’exécution des travaux du marché phytosanitaire du plan jaxxay. En réalité, Serigne Bassirou Gueye en tentant de jeter l’opprobre sur la dame Aida Ndiongue a purifié cette dernière puisqu’il a explicitement reconnu que les accusations concernant les marchés phytosanitaires du plan jaxxay ne tenaient pas la route.

Le mythomane Serigne Bassirou Gueye ferait mieux avec sa toge satanique de s’attaquer aux véritables cleptomanes. Pourquoi s’attaquer à cette pauvre dame au moment où le vieux véreux Moustapha Niasse, à un pas de la mort, qui compte chez lui 3 chômeurs, s’enorgueillit publiquement de faire des profits de 5 milliards de FCFA/an avec ses sociétés d’écran. Ses basses besognes devraient plus tôt être orientées vers ce profiteur qui refuse tout audit sur la gestion opaque des 16 milliards de FCFA annuels, alloués à l’assemblée nationale.

Ce politicien encagoulé, qu’est la marionnette Serigne Bassirou Gueye, n’a- t-il pas été au Sénégal au moment où Ndella Madior Diouf déclarait publiquement avoir reçu des diamants du dictateur Lybien Khadaffi. Nous ne saurons guère cautionner cette justice des vainqueurs qui diabolise des innocents qui n’ont commis le seul tort d’être loyal au président WADE et qui délaisse injustement des malfaiteurs qui ont une dépense quotidienne de 100.000 FCFA/jour.

Le bluffeur Serigne Bassirou Gueye, en imitant les hommes à deux puces de par ses actes de soumission, omet certainement que les triumvirs ne font que dire le droit et non rendre des services. Il nous parait déraisonnable d’accorder un grain de crédit à ce microbe du droit qui s’est régulièrement illustré comme un ignare qui n’a aucune notion du droit. C’est vraiment pitoyable de voir un procureur jeter bas son masque de juriste pour descende sans vergogne dans le champ politique. En violation flagrante du secret d’instruction et bancaire, ce vendu s’est offert le luxe de jurer que ‘’ ces montants appartenant à Mme Aïda Ndiongue sont relatifs à la traque aux biens mal acquis.’’

Cette réaction instinctive restera à jamais graver dans les lettres d’or des annales de la justice Sénégalaise. Et pourtant il est clairement stipulé dans la loi faisant office de répression de l’enrichissement illicite que seuls ‘’ les titulaires d'un mandat public électif ou d'une fonction gouvernementale’’ sont assujettis à ce type de contrôle judiciaire. Alors comment une femme d’affaire qui n’a jamais géré les deniers publics peut-elle être concernée, comme par magie, par la traque médiatique des biens mal acquis ? Ce délit de richesse ne saurait aucunement prospérer.

Sans aucun argument solide, le baveux Serigne Bassirou Gueye, qui n’a de procureur que le surnom ferait mieux d’arrêter de se faire ridiculiser en confectionnant cette toile de mensonge oratoire juste pour rassasier les instincts politiques de ses supérieurs hiérarchiques, qui n’ont de commun que leurs nullités absolues. Dire que même en mensonge ce gouvernement est nul.

En réalité, ces magistrats chapeautés par l’exécutif détiennent d’irréfutables preuves. Mais ces preuves dont ils disposent accablent directement l’homme qui a acquis 8 milliards de FCFA en 7 ans, à savoir le joufflu Macky SALL et sa femme Mariéme Simone FAYE. Sachant que lui et sa femme seront victimes dans deux ans de ces méthodes judiciaires, comme GBAGBO Laurent et Simone, le chef de la transition Macky SALL, cherche désespérément par des contorsions juridiques, à sauver les voleurs de son acabit. Mais c’est peine perdue puisque le peuple Sénégalais n’acceptera jamais que des malhonnêtes personnes qui ont passé tout le reste de leurs vies à se gonfler les joues, en spoliant les biens publics, déambuler librement dans les artères de ce pays.

En érigeant ces calculs politiques, comme une sortie de secours aux voleurs de la république, dans le canal judiciaire, le stagiaire de la présidence Macky SALL, qui piétine les fondamentaux légaux en vigueur, étale au grand public toute la hantise qui l’anime. De toutes les façons, la justice lèvera le voile, dans 24 mois, sur tous les actes de brigandage qu’il a eu à opérer au cours de son parcours étatique.

En clair, la sénatrice Aida Ndiongue est, ni plus ni moins, victime d’une cabale politique qui ne dit pas nom. Cette manigance déshonorante ficelée par la demoiselle Aminata Touré confirme que la démocratie sénégalaise s’est dorénavant muée en démocrature. La caporalisation du système judiciaire au profit de l’exécutif ne sert en réalité qu’à escamoter l’incompétence d’un régime comateux, vomi par les Sénégalais.

Éternel Wadiste

Moïse RAMPINO

Moise RAMPINO

Vendredi 24 Janvier 2014 - 13:30





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