L'accord de paix, déjà entériné par le camp gouvernemental et la médiation internationale, a été signé au nom de la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA, rébellion) par Sidi Brahim Ould Sidati, un dirigeant du Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), lors d'une cérémonie en présence du président malien Ibrahim Boubaca Keïta et du chef de la Mission de l'ONU, Mongi Hamdi.
Les youyous ont éclaté dans la salle de conférences lorsque Sidi Brahim Ould Sidati a apposé sa signature après celles figurant déjà sur l'accord depuis la cérémonie du 15 mai. Auparavant, le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, chef de file de la médiation internationale dans ces pourparlers, avait salué « un nouveau départ » pour le Mali.
La participation internationale était d'ampleur et de niveau moindres que lors de la cérémonie du 15 mai, devant un parterre de chefs d'État africains. La France et les États-Unis étaient représentés par des responsables de leur diplomatie et plusieurs pays voisins, tels la Mauritanie, le Niger et le Burkina Faso, par des ministres.
L'accord vise à instaurer une paix durable dans le nord du Mali, qui a connu une série de rébellions touareg depuis les premières années d'indépendance du pays, en 1960. En 2012, cette vaste région a été transformée en sanctuaire et en base d'opérations jihadiste, jusqu'au lancement par la France de l'opération Serval en janvier 2013.
Les youyous ont éclaté dans la salle de conférences lorsque Sidi Brahim Ould Sidati a apposé sa signature après celles figurant déjà sur l'accord depuis la cérémonie du 15 mai. Auparavant, le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, chef de file de la médiation internationale dans ces pourparlers, avait salué « un nouveau départ » pour le Mali.
La participation internationale était d'ampleur et de niveau moindres que lors de la cérémonie du 15 mai, devant un parterre de chefs d'État africains. La France et les États-Unis étaient représentés par des responsables de leur diplomatie et plusieurs pays voisins, tels la Mauritanie, le Niger et le Burkina Faso, par des ministres.
L'accord vise à instaurer une paix durable dans le nord du Mali, qui a connu une série de rébellions touareg depuis les premières années d'indépendance du pays, en 1960. En 2012, cette vaste région a été transformée en sanctuaire et en base d'opérations jihadiste, jusqu'au lancement par la France de l'opération Serval en janvier 2013.