Le Maire de Dakar s’est prononcé sur les difficultés des Etats Africains face à la croissance urbaine dans les villes. Ce fléau n’épargne pas la ville de Dakar, ainsi, Khalifa Sall est d’avis que concernant l’accès à l’eau et à l’électricité, il s’agit de gestions ambivalentes. Autrement dit c’est l’Etat qui produit et qui transporte l’électricité et ce sont les collectivités locales qui s’occupent des politiques d’accès à l’électricité et à l’éclairage public. Ainsi, selon lui le problème de délestage ne concerne pas la collectivité locale. Non sans oublier les problèmes auxquels il doit faire face.
« Nous avons une croissance urbaine assez importante et il nous faut aller très vite pour faire en sorte que les populations qui viennent s’installer aient accès à l’eau et à l’électricité, mais aussi pour que les rues soient propres ».
Il a indiqué par ailleurs que le drame des inondations relève du fait que le Sénégal est un pays sahélien qui a connu presque 20 ans de sécheresse et l’exode rural à conduit les populations à s’installer dans les zones inondables.
Le maire de Dakar a soutenu en outre, que le Sénégal fait face à des contraintes aujourd’hui : « quand nous devons éclairer nos villes, nous aurions voulu offrir à notre population de l’énergie propre, mais nous ne pouvons pas en soutenir les coûts » s’est-il voulu clair. Avant de préciser : « nous faisons le choix comme élus de mettre des réseaux thermiques. L’énergie solaire coûte cher surtout au niveau des intrants, c’est la même chose pour l’érosion côtière et pour les inondations ». Le maire de Dakar a expliqué par ailleurs que pour une région comme Dakar, le choix est de faire un réseau d’évacuation d’abord, de collecte et d’évacuation ensuite. A l’en croire la construction du réseau de collecte ne pose pas de problème, mais l’évacuation oui.
« Nous sommes une presqu’ île et nous évacuons dans la mer et si nous devons évacuer de l’eau collectée dans la mer, on pollue la mer, donc il nous faut des centres de gestion de l’eau. Nous somme condamnés ainsi à mettre en place un système de collecte de l’eau et de traitement avant de la réutiliser » a t-il laissé entendre dans l’émission "4 milliards de voisins" sur la Rfi.
Khalifa Sall a indiqué aussi que les pays africains ne se développerons pas par l'aide. Selon lui, l'aide internationale a connu ses limites, l'Afrique doit compter sur elle même. " Nos partenaires du Nord ont pollué pour se développer et les énergies qu'ils proposent ne sont pas données et ne nous permettrons pas de nous développer dans les conditions et délais compatibles avec nos ambitions"
« Nous avons une croissance urbaine assez importante et il nous faut aller très vite pour faire en sorte que les populations qui viennent s’installer aient accès à l’eau et à l’électricité, mais aussi pour que les rues soient propres ».
Il a indiqué par ailleurs que le drame des inondations relève du fait que le Sénégal est un pays sahélien qui a connu presque 20 ans de sécheresse et l’exode rural à conduit les populations à s’installer dans les zones inondables.
Le maire de Dakar a soutenu en outre, que le Sénégal fait face à des contraintes aujourd’hui : « quand nous devons éclairer nos villes, nous aurions voulu offrir à notre population de l’énergie propre, mais nous ne pouvons pas en soutenir les coûts » s’est-il voulu clair. Avant de préciser : « nous faisons le choix comme élus de mettre des réseaux thermiques. L’énergie solaire coûte cher surtout au niveau des intrants, c’est la même chose pour l’érosion côtière et pour les inondations ». Le maire de Dakar a expliqué par ailleurs que pour une région comme Dakar, le choix est de faire un réseau d’évacuation d’abord, de collecte et d’évacuation ensuite. A l’en croire la construction du réseau de collecte ne pose pas de problème, mais l’évacuation oui.
« Nous sommes une presqu’ île et nous évacuons dans la mer et si nous devons évacuer de l’eau collectée dans la mer, on pollue la mer, donc il nous faut des centres de gestion de l’eau. Nous somme condamnés ainsi à mettre en place un système de collecte de l’eau et de traitement avant de la réutiliser » a t-il laissé entendre dans l’émission "4 milliards de voisins" sur la Rfi.
Khalifa Sall a indiqué aussi que les pays africains ne se développerons pas par l'aide. Selon lui, l'aide internationale a connu ses limites, l'Afrique doit compter sur elle même. " Nos partenaires du Nord ont pollué pour se développer et les énergies qu'ils proposent ne sont pas données et ne nous permettrons pas de nous développer dans les conditions et délais compatibles avec nos ambitions"
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