C’est par un point de presse dans l’urgence que Bernabé Gningue a effectué ce mardi 25 mars dans les locaux de la région médicale pour expliquer la maladie du virus Ebola et des mesures nécessaires à adopter pour se prévenir de la pandémie.
Rappelons que ces mesures sont prises par ce que la maladie sévit en guinée Conakry pays avec lequel nous partageons une longue frontière et avec qui nous avons des échanges commerciaux par le biais du louma de Diaobé et le « Dakka » de Médina Gounass.
A cet effet, trois points stratégiques ont été mis en place pour parer à toute éventualité, la communication, la mise sur pied des équipes techniques et les fiches de renseignements sur le virus mis à la disposition des agents.
Donc a cet effet, ce sont les contacts directs entre populations des deux pays qui peuvent propager la maladie s’il y’a bien entendu des agents porteurs du virus.
En ce sens, la maladie est d’origine animale c’est à dire que le virus est transmis par les singes, les antilopes, les chauves-souris entre autres et elle est très grave puisqu’étant mortelle.
Le chef de la région médicale de Kolda estime en ces termes « nos populations ne connaissent pas cette maladie, elle n’a pas de remède ni de vaccin c’est pourquoi nous demandons aux populations de respecter les mesures d’hygiène pour éviter de contracter la maladie. »
En ce sens, nous conseillons aux gens de consommer la viande des boucheries contrôlées par l’état et d’éviter toute viande provenant d’origine animale par ce que prés de 60 personnes sont mortes de ce virus en Guinée Conakry, dixit docteur Gningue.
L’élément essentiel demeure dans le contrôle de la frontière, en ce sens docteur Gningue rassure l’opinion « nous avons alerté la police des frontières à savoir la police et la gendarmerie pour contrôler tout individu en provenance de ce pays (guinée Conakry) puisqu’ils ont été mis au parfum des symptômes du virus. »
La région de Kolda présente une large frontière d’avec la guinée Conakry, en ce sens la population doit rester très vigilante.
Rappelons que ces mesures sont prises par ce que la maladie sévit en guinée Conakry pays avec lequel nous partageons une longue frontière et avec qui nous avons des échanges commerciaux par le biais du louma de Diaobé et le « Dakka » de Médina Gounass.
A cet effet, trois points stratégiques ont été mis en place pour parer à toute éventualité, la communication, la mise sur pied des équipes techniques et les fiches de renseignements sur le virus mis à la disposition des agents.
Donc a cet effet, ce sont les contacts directs entre populations des deux pays qui peuvent propager la maladie s’il y’a bien entendu des agents porteurs du virus.
En ce sens, la maladie est d’origine animale c’est à dire que le virus est transmis par les singes, les antilopes, les chauves-souris entre autres et elle est très grave puisqu’étant mortelle.
Le chef de la région médicale de Kolda estime en ces termes « nos populations ne connaissent pas cette maladie, elle n’a pas de remède ni de vaccin c’est pourquoi nous demandons aux populations de respecter les mesures d’hygiène pour éviter de contracter la maladie. »
En ce sens, nous conseillons aux gens de consommer la viande des boucheries contrôlées par l’état et d’éviter toute viande provenant d’origine animale par ce que prés de 60 personnes sont mortes de ce virus en Guinée Conakry, dixit docteur Gningue.
L’élément essentiel demeure dans le contrôle de la frontière, en ce sens docteur Gningue rassure l’opinion « nous avons alerté la police des frontières à savoir la police et la gendarmerie pour contrôler tout individu en provenance de ce pays (guinée Conakry) puisqu’ils ont été mis au parfum des symptômes du virus. »
La région de Kolda présente une large frontière d’avec la guinée Conakry, en ce sens la population doit rester très vigilante.
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