Toutes les conditions étaient réunies pour échouer dans la vie pour cet homme.
Né à Nghocky en 1979 dans la commune de Dialambéré(département de kolda), où il a débuté ses humanités avant de les terminer à Kolda puis au lycée limamoulaye de dakar.
Le bac obtenu en 1999 à Limamoulaye, il passe deux années à l’université de 2000 à 2002 puis il s’envole en France pour continuer ses études. De là-bas il se spécialise en gestion des ressources humaines et s’inscrit en thèse de doctorat en sciences de gestion.
Se rendant compte de la difficulté des étudiants étrangers à intégrer le tissu économico-social, monsieur Sow crée la fondation CCI Afrique pour changer la donne dans les pays de départ comme d’accueils.
C’est dans ce cadre que le sieur décide de revenir au bercail en 2008 pour trouver des perspectives pour aider les bacheliers voulant continuer leurs études à l’étranger dans des filières porteuses.
La réussite étant au bout de l’effort estime monsieur Sow « toutes les conditions étaient réunies pour que j’échoue car je suis issu d’une famille très modeste mais heureusement que mes parents ont compris que l’éducation était une porte vers la réussite » croit-t-il fermement.
Aujourd’hui CCI Afrique est en train de construire une mosquée et une morgue à Nghocky pour le bien être des populations nous allons nous investir avec nos partenaires dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage de la création d’emploi en général, d’après lui.
Nous sommes une organisation non politique qui œuvre pour le développement local concret et nous sommes installés dans 17 pays africains notamment au Sénégal, en guinée Conakry, Mali … insiste-t-il.
Abordant le développement local « je crois aux possibilités de la jeunesse qui doit penser revenir développer notre pays pour preuve moi je cueillais des pommes et des melons en France et j’en étais heureux et mes camarades se moquaient de moi à l’époque » argue-t-il.
Pour preuve aujourd'hui, j’emploi plus de 50 personnes au niveau du Sénégal dans ma fondation, constate-t-il.
Ce citoyen lambda sorti du néant a su tirer profit de son immigration et souhaite la mettre à profit pour le développement de son pays voire de son terroir.
MAHMOUDIL DIALLO
Né à Nghocky en 1979 dans la commune de Dialambéré(département de kolda), où il a débuté ses humanités avant de les terminer à Kolda puis au lycée limamoulaye de dakar.
Le bac obtenu en 1999 à Limamoulaye, il passe deux années à l’université de 2000 à 2002 puis il s’envole en France pour continuer ses études. De là-bas il se spécialise en gestion des ressources humaines et s’inscrit en thèse de doctorat en sciences de gestion.
Se rendant compte de la difficulté des étudiants étrangers à intégrer le tissu économico-social, monsieur Sow crée la fondation CCI Afrique pour changer la donne dans les pays de départ comme d’accueils.
C’est dans ce cadre que le sieur décide de revenir au bercail en 2008 pour trouver des perspectives pour aider les bacheliers voulant continuer leurs études à l’étranger dans des filières porteuses.
La réussite étant au bout de l’effort estime monsieur Sow « toutes les conditions étaient réunies pour que j’échoue car je suis issu d’une famille très modeste mais heureusement que mes parents ont compris que l’éducation était une porte vers la réussite » croit-t-il fermement.
Aujourd’hui CCI Afrique est en train de construire une mosquée et une morgue à Nghocky pour le bien être des populations nous allons nous investir avec nos partenaires dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage de la création d’emploi en général, d’après lui.
Nous sommes une organisation non politique qui œuvre pour le développement local concret et nous sommes installés dans 17 pays africains notamment au Sénégal, en guinée Conakry, Mali … insiste-t-il.
Abordant le développement local « je crois aux possibilités de la jeunesse qui doit penser revenir développer notre pays pour preuve moi je cueillais des pommes et des melons en France et j’en étais heureux et mes camarades se moquaient de moi à l’époque » argue-t-il.
Pour preuve aujourd'hui, j’emploi plus de 50 personnes au niveau du Sénégal dans ma fondation, constate-t-il.
Ce citoyen lambda sorti du néant a su tirer profit de son immigration et souhaite la mettre à profit pour le développement de son pays voire de son terroir.
MAHMOUDIL DIALLO