«L'ordonnance numéro 1-2020 aménageant des mesures dérogatoires relatives au licenciement et au chômage technique durant la période de la pandémie» du COVID-19 au Sénégal, annoncée ce vendredi par le ministre du Travail, Samba Sy, a été bien accueillie par le Secrétaire général de CNTS/FC, Cheikh Diop.
Réagissant au micro de la Tfm, le syndicaliste a salué à sa juste valeur cette décision du président de la République, Macky Sall.
«Je le dis et de façon très nette, nous saluons cette décision du Chef de l’État de prendre la première ordonnance en direction du monde du travail pour sécuriser les emplois durant cette période de crise. Ça, nous le saluons vivement et c’est ce qu’on attendait de lui après notre rencontre de consultation», a laissé entendre Cheikh Diop.
Toutefois, le Sg de CNTS/FC estime que «les mesures d’accompagnement doivent aller très vite et mises en place très vite».
Faute de quoi, soutient-il, «il y aura quand même des PME/PMI qui auront des difficultés».
Pour soutenir notre économie, «il faudrait qu’on aille vers la mise en place rapide de ces mesures d’accompagnement. Mais aussi, à cela qu’on ajoute le règlement de la dette intérieure», réclame Diop.
Il ajoute : «dans certains secteurs insoupçonnés d’ailleurs dans le secteur du pétrole, il y a des PME/PMI qui aujourd’hui, si la dette intérieure qui est due depuis trois ans ne peut pas être payée, je pense qu’il y aura des difficultés».
Réagissant au micro de la Tfm, le syndicaliste a salué à sa juste valeur cette décision du président de la République, Macky Sall.
«Je le dis et de façon très nette, nous saluons cette décision du Chef de l’État de prendre la première ordonnance en direction du monde du travail pour sécuriser les emplois durant cette période de crise. Ça, nous le saluons vivement et c’est ce qu’on attendait de lui après notre rencontre de consultation», a laissé entendre Cheikh Diop.
Toutefois, le Sg de CNTS/FC estime que «les mesures d’accompagnement doivent aller très vite et mises en place très vite».
Faute de quoi, soutient-il, «il y aura quand même des PME/PMI qui auront des difficultés».
Pour soutenir notre économie, «il faudrait qu’on aille vers la mise en place rapide de ces mesures d’accompagnement. Mais aussi, à cela qu’on ajoute le règlement de la dette intérieure», réclame Diop.
Il ajoute : «dans certains secteurs insoupçonnés d’ailleurs dans le secteur du pétrole, il y a des PME/PMI qui aujourd’hui, si la dette intérieure qui est due depuis trois ans ne peut pas être payée, je pense qu’il y aura des difficultés».
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