Le promoteur de lutte Gaston Mbengue a annoncé sur les ondes de nos confrères de la Rfm son retrait du monde de la lutte. Il a gelé ses activités jusqu’à nouvelle ordre. «J’ai pris la décision de geler mes activités dans la lutte. Enfin de compte trop c’est trop», a-t-il déclaré.
Pour se justifier, il soutient qu’ «on investit des centaines de millions pour l’éducation de nos enfants qui, à la sortie ont des difficultés pour s’insérer dans le monde professionnel. On peut distribuer 200 millions à deux lutteurs dans une soirée, alors que ces 200 millions investis pourraient permettre de créer une société. Cette société permettra aux diplômés chômeurs d’être embauchés et tant d’autres citoyens. Je regrette cet argent que j’ai investi dans la lutte. Je le regrette très fort, mais je l’assume parce qu’en venant à Dakar je n’avais rien. J’ai beaucoup dépensé dans la lutte mais il n’y a pas de retombées. Depuis un an et demi, je ne regarde plus la lutte à télévision», regrette Gaston Mbengue qui s’active désormais dans le football. Il est le président du Ndiambour de Louga, une équipe de la ligue 1 sénégalaise.
Pour se justifier, il soutient qu’ «on investit des centaines de millions pour l’éducation de nos enfants qui, à la sortie ont des difficultés pour s’insérer dans le monde professionnel. On peut distribuer 200 millions à deux lutteurs dans une soirée, alors que ces 200 millions investis pourraient permettre de créer une société. Cette société permettra aux diplômés chômeurs d’être embauchés et tant d’autres citoyens. Je regrette cet argent que j’ai investi dans la lutte. Je le regrette très fort, mais je l’assume parce qu’en venant à Dakar je n’avais rien. J’ai beaucoup dépensé dans la lutte mais il n’y a pas de retombées. Depuis un an et demi, je ne regarde plus la lutte à télévision», regrette Gaston Mbengue qui s’active désormais dans le football. Il est le président du Ndiambour de Louga, une équipe de la ligue 1 sénégalaise.
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