Les dépenses totales et prêts nets de l’Etat sénégalais ont enregistré une forte augmentation de 133,5 milliards FCFA (environ 213,600 millions de dollars) au mois de février 2017, a-t-on appris dimanche auprès de la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE).
Ces dépenses et prêts nets sont passés de 318,3 milliards FCFA en février 2016 à 451,7 milliards FCFA un an plus tard, soit une progression de 41,9%. « Cette amélioration reflète l’exécution soutenue des dépenses d’investissement ainsi que le niveau élevé des charges courantes », explique la DPEE.
Concernant les dépenses en capital, elles ont été exécutées à hauteur de 172,8 milliards FCFA, soit une progression de 77,4 milliards FCFA tirée par les investissements financés sur ressources internes (130,5 milliards) avec une hausse de 66,8 milliards FCFA.
Quant aux investissements financés sur ressources externes, ils se sont consolidés de 33,6% pour atteindre 42,3 milliards FCFA.
Les dépenses courantes, évaluées à 272,2 milliards FCFA, ont progressé de 22,1% à la faveur notamment de l’augmentation des charges d’intérêt sur la dette (48,9 milliards), des charges de fonctionnement (136,3 milliards) et de la masse salariale (93,8 milliards) qui se sont accrus respectivement de 33,1 milliards FCFA, 19,5 milliards FCFA et 3,5 milliards FCFA.
Ces dépenses et prêts nets sont passés de 318,3 milliards FCFA en février 2016 à 451,7 milliards FCFA un an plus tard, soit une progression de 41,9%. « Cette amélioration reflète l’exécution soutenue des dépenses d’investissement ainsi que le niveau élevé des charges courantes », explique la DPEE.
Concernant les dépenses en capital, elles ont été exécutées à hauteur de 172,8 milliards FCFA, soit une progression de 77,4 milliards FCFA tirée par les investissements financés sur ressources internes (130,5 milliards) avec une hausse de 66,8 milliards FCFA.
Quant aux investissements financés sur ressources externes, ils se sont consolidés de 33,6% pour atteindre 42,3 milliards FCFA.
Les dépenses courantes, évaluées à 272,2 milliards FCFA, ont progressé de 22,1% à la faveur notamment de l’augmentation des charges d’intérêt sur la dette (48,9 milliards), des charges de fonctionnement (136,3 milliards) et de la masse salariale (93,8 milliards) qui se sont accrus respectivement de 33,1 milliards FCFA, 19,5 milliards FCFA et 3,5 milliards FCFA.
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