Le député de « Manko » Mamadou Lamine Diallo, ne digère toujours pas que la convention de Concession du terminal vraquier du Port Autonome de Dakar ait été attribué au groupe Necotrans en son temps. Necotrans en faillite et rachetée par Bolloré une enquête parlementaire s’impose derechef assure t’il. Aussi demande t’il des comptes d’autant plus assure t’il que cette société avait multiplié ses tarifs par deux et promis des milliards d’investissement pour augmenter la productivité.
« Au finish, ce fut une pompe à finance des sociétés minières, en particulier des cimentiers. Au profit de qui ? L’enquête le démontrera même si le bras armé dans cette affaire a été promu au gouvernement » assure t’il.
Sur un autre registre, le député, Président du mouvement Tekki veut la dissolution de la commission électorale autonome (CENA) et la mise en place de l’Autorité de Régulation de la Démocratie pour gérer le processus électoral.
« Tous les acteurs politiques sont convaincus que la CENA a fait son temps. Elle coute chère et ne sert à rien, elle l’a largement prouvé lors de la mascarade électorale du 30 juillet 2017. Son budget dépasse les deux milliards dont cinq cent millions de salaires. Elle doit être dissoute. A partir de ce moment, le système de gouvernance du processus électoral, reposant sur le contrôle de la CENA, doit être révisé. C’est le moment de revisiter la proposition du Professeur Amadou Mahtar Mbow de mettre en place une autorité de régulation de la démocratie pour gérer le processus électoral dans le rapport de la CNRI remis au Président Macky Sall (page 32) ».
« Au finish, ce fut une pompe à finance des sociétés minières, en particulier des cimentiers. Au profit de qui ? L’enquête le démontrera même si le bras armé dans cette affaire a été promu au gouvernement » assure t’il.
Sur un autre registre, le député, Président du mouvement Tekki veut la dissolution de la commission électorale autonome (CENA) et la mise en place de l’Autorité de Régulation de la Démocratie pour gérer le processus électoral.
« Tous les acteurs politiques sont convaincus que la CENA a fait son temps. Elle coute chère et ne sert à rien, elle l’a largement prouvé lors de la mascarade électorale du 30 juillet 2017. Son budget dépasse les deux milliards dont cinq cent millions de salaires. Elle doit être dissoute. A partir de ce moment, le système de gouvernance du processus électoral, reposant sur le contrôle de la CENA, doit être révisé. C’est le moment de revisiter la proposition du Professeur Amadou Mahtar Mbow de mettre en place une autorité de régulation de la démocratie pour gérer le processus électoral dans le rapport de la CNRI remis au Président Macky Sall (page 32) ».