La tête de liste nationale du Rassemblement démocratique sénégalais (Rds), Mame Matar Guèye, était ce mardi au chevet des ex-travailleurs d’Ama-Sénégal et de la Sias, qui observent une grève de la faim. Ces derniers exigent le paiement de l’ensemble de leurs droits estimés à 3 milliards de francs Cfa. La dette sociale court depuis 2007. L’année dernière, l’État leur avait versé 260 millions de francs Cfa en guise d’avance. Après, plus rien.
Mame Matar Guèye estime «très insuffisant» le montant remis comme avance. Il invite le gouvernement à penser à «ces pauvres pères et mères de familles». Mais la tête de liste nationale du Rds va plus loin. Il compte, s’il est élu député, faire une proposition de loi pour éviter pareilles situations à l’avenir.
«Je prends l’engagement que dès notre accession à l’hémicycle, parmi nos priorités, nous plaçons en super priorité, la nécessité, désormais, d’imposer à l’Etat au moment de dissoudre des sociétés, d’éviter de mettre la charrue avant les bœufs, pro;et Mame Matar Guèye. Mais, plutôt de ficeler d’abord le plan social, de trouver d’abord son financement avant de procéder à la dissolution de toute autre sociétés, pour que désormais, qu’on ne se permettre plus de dissoudre des sociétés et de jeter des pères de familles dans la rue.»
Les grévistes de la faim sont répartis dans deux chambres, l’une affectée aux hommes, l’autre aux femmes. Ils n’ont pas voulu s’exprimer.
Mame Matar Guèye estime «très insuffisant» le montant remis comme avance. Il invite le gouvernement à penser à «ces pauvres pères et mères de familles». Mais la tête de liste nationale du Rds va plus loin. Il compte, s’il est élu député, faire une proposition de loi pour éviter pareilles situations à l’avenir.
«Je prends l’engagement que dès notre accession à l’hémicycle, parmi nos priorités, nous plaçons en super priorité, la nécessité, désormais, d’imposer à l’Etat au moment de dissoudre des sociétés, d’éviter de mettre la charrue avant les bœufs, pro;et Mame Matar Guèye. Mais, plutôt de ficeler d’abord le plan social, de trouver d’abord son financement avant de procéder à la dissolution de toute autre sociétés, pour que désormais, qu’on ne se permettre plus de dissoudre des sociétés et de jeter des pères de familles dans la rue.»
Les grévistes de la faim sont répartis dans deux chambres, l’une affectée aux hommes, l’autre aux femmes. Ils n’ont pas voulu s’exprimer.
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