Qu’est ce qui se passe à la COJER ? Y’a-t-il scission ?
Je vous remercie de l’opportunité que vous nous donnez de communiquer. Un vent nouveau souffle à la COJER. Il n’y a pas de scission, il n’y a pas deux COJER mais une seule. La Nouvelle Dynamique n’est pas une nouvelle structure créée pour concurrencer l’autre, c’est un courant qui vise à réformer le mode de fonctionnement calamiteux de la COJER car il faut le dire elle a perdu son attractivité. La COJER est moribonde et en lambeaux. La COJER est caractérisée par trois D : Démobilisation, Démotivation et Désorientation. Il n’y a aucune direction claire. La COJER est également utilisée pour contester les décisions de notre leader le Président Macky Sall. La COJER était devenue une structure au service d’ambitions personnelles en porte à faux avec les valeurs incarnées par le Président Macky Sall et véhiculées par le parti.
La jeunesse est divisée en pro-tel ou pro-tel autre. Elle est utilisée pour combattre des programmes du gouvernement (vacances citoyennes) ou pour combattre des ministres et des responsables du parti. La situation était devenue inquiétante et grave.
A la COJER, au lieu de briser le plafond de verre, il a été rabaissé et finalement les jeunes ont été privés de ce qu’ils ont de plus précieux : la liberté.
Lorsque la méfiance et la suspicion s’installent dans une structure, la confiance prend le chemin inverse. Il faut donc redonner de la force, du contenu, et de la noblesse à l’engagement politique au sein de la COJER. La COJER doit porter l’énergie collective des jeunes et incarner l’espoir.
D’ailleurs dans sa lettre aux militants du 01 juin 2017, le Président Macky Sall disait je cite : « Seul un retour à nos fondamentaux structurants, à nos Valeurs fondatrices, pourrait nous pousser à dépasser les frustrations factices, les coups de Jarnac inutiles, le sectarisme inhibiteur, les combats fratricides d’arrière-garde, l’arrogance indue et les prétentions infondées ». Nous l’avons très bien entendu.
Certains disent que c’est un combat contre Thérèse Faye ?
Pas du tout. C’est une perception erronée de notre combat. Ce n’est qu’un retour aux fondamentaux structurants du parti comme recommandé par notre leader, le Président Macky Sall. Nous ne combattons pas la personne de Thérèse Faye. Elle reste une grande sœur et une camarade de valeur. Elle a du mérite. Elle est une icône du parti et c’est une lapalissade que de le dire. Nous lui rendons et lui rendrons toujours hommage pour les sacrifices consenties pour le parti. Elle demeure un modèle d’engagement politique et citoyen.
Cependant, comme pour tout combattant, il arrive un moment où on atteint un seuil de saturation et par conséquent on s’essouffle. Elle a atteint son seuil de saturation à cause de dix années passées au front sans discontinuer. En plus, avec la direction générale, la COJER, la mairie de Diarrère et son ménage, la pression qu’elle supporte sur ses épaules est énorme. C’est ce qui explique ses multiples erreurs et errements dans la conduite de la structure. Sa démission est une bonne occasion pour elle de prendre du repos et du recul afin revenir avec force, sous d’autres formes d’engagement, dans la bataille pour la réélection du Président Macky Sall.
En quoi consiste alors votre combat ?
Notre combat vise à redonner à la COJER son attractivité et son dynamisme afin de répondre aux attentes de notre leader le Président Macky Sall. Nous allons faire un diagnostic de la situation actuelle de la structure avant d’entamer des réformes.
Le défi, c’est de redonner confiance à la jeunesse républicaine sur le plan collectif et individuel tout en cicatrisant les blessures. Il faut remobiliser, remotiver et réorienter les jeunes sur l’objectif fondamental, la réélection du président Macky Sall dès le premier tour en 2019.
Nous avons réfléchi à un projet d’encadrement et de mobilisation des primo-votants et à d’autres actions concrètes à la base qui permettront à la jeunesse d’assurer la réélection du Président Macky Sall. Voilà le sens de notre combat.
Nous avons d’ailleurs dans ce sens envoyé une lettre d’information au
Vous êtes Economiste, que pensez-vous de la situation actuelle du pays ? Sommes-vous vraiment engagés dans le chemin qui mène vers l’émergence ?
La situation actuelle du pays est reluisante. Les indicateurs économiques le démontrent à suffisance. La croissance est à plus de 6% depuis plus de trois ans, ce qui est une tendance réconfortante. Pour la première fois depuis une bonne dizaine d’années, le pays sort la tête de l’eau.
Les disparités économiques et sociales entre le monde rural, la capitale et les villes sont en train d’être résorbées grâce au PUDC, au PUMA et aux autres investissements portés par les ministères et agences gouvernementales. Ces zones vont davantage participer à la création de richesse.
Le Gouvernement est en train également de mettre en place des infrastructures structurantes qui vont booster le développement économique du pays. Le contexte réglementaire et politique est devenu plus favorable pour attirer des investissements qui créent de l’emploi et de la valeur.
Si les tendances actuelles se maintiennent, le pays ira vers l’émergence plus tôt que prévu. Il s’y ajoute que les futurs revenus du gaz et du pétrole vont permettre d’accélérer de façon exponentielle les investissements dans tous les secteurs. Les multinationales ont compris cette tendance et se positionnent de plus en plus dans notre pays. Il faut que le secteur privé national soit plus agressif économiquement afin de capter les opportunités futures. Les jeunes doivent aussi faire
preuve d’imagination et de créativité pour participer pleinement avec des projets novateurs à la marche du pays. Il faut donc encourager et soutenir le Président Macky Sall, un homme politique moderne et pragmatique pour que tout cet espoir devienne réalité.
Je vous remercie de l’opportunité que vous nous donnez de communiquer. Un vent nouveau souffle à la COJER. Il n’y a pas de scission, il n’y a pas deux COJER mais une seule. La Nouvelle Dynamique n’est pas une nouvelle structure créée pour concurrencer l’autre, c’est un courant qui vise à réformer le mode de fonctionnement calamiteux de la COJER car il faut le dire elle a perdu son attractivité. La COJER est moribonde et en lambeaux. La COJER est caractérisée par trois D : Démobilisation, Démotivation et Désorientation. Il n’y a aucune direction claire. La COJER est également utilisée pour contester les décisions de notre leader le Président Macky Sall. La COJER était devenue une structure au service d’ambitions personnelles en porte à faux avec les valeurs incarnées par le Président Macky Sall et véhiculées par le parti.
La jeunesse est divisée en pro-tel ou pro-tel autre. Elle est utilisée pour combattre des programmes du gouvernement (vacances citoyennes) ou pour combattre des ministres et des responsables du parti. La situation était devenue inquiétante et grave.
A la COJER, au lieu de briser le plafond de verre, il a été rabaissé et finalement les jeunes ont été privés de ce qu’ils ont de plus précieux : la liberté.
Lorsque la méfiance et la suspicion s’installent dans une structure, la confiance prend le chemin inverse. Il faut donc redonner de la force, du contenu, et de la noblesse à l’engagement politique au sein de la COJER. La COJER doit porter l’énergie collective des jeunes et incarner l’espoir.
D’ailleurs dans sa lettre aux militants du 01 juin 2017, le Président Macky Sall disait je cite : « Seul un retour à nos fondamentaux structurants, à nos Valeurs fondatrices, pourrait nous pousser à dépasser les frustrations factices, les coups de Jarnac inutiles, le sectarisme inhibiteur, les combats fratricides d’arrière-garde, l’arrogance indue et les prétentions infondées ». Nous l’avons très bien entendu.
Certains disent que c’est un combat contre Thérèse Faye ?
Pas du tout. C’est une perception erronée de notre combat. Ce n’est qu’un retour aux fondamentaux structurants du parti comme recommandé par notre leader, le Président Macky Sall. Nous ne combattons pas la personne de Thérèse Faye. Elle reste une grande sœur et une camarade de valeur. Elle a du mérite. Elle est une icône du parti et c’est une lapalissade que de le dire. Nous lui rendons et lui rendrons toujours hommage pour les sacrifices consenties pour le parti. Elle demeure un modèle d’engagement politique et citoyen.
Cependant, comme pour tout combattant, il arrive un moment où on atteint un seuil de saturation et par conséquent on s’essouffle. Elle a atteint son seuil de saturation à cause de dix années passées au front sans discontinuer. En plus, avec la direction générale, la COJER, la mairie de Diarrère et son ménage, la pression qu’elle supporte sur ses épaules est énorme. C’est ce qui explique ses multiples erreurs et errements dans la conduite de la structure. Sa démission est une bonne occasion pour elle de prendre du repos et du recul afin revenir avec force, sous d’autres formes d’engagement, dans la bataille pour la réélection du Président Macky Sall.
En quoi consiste alors votre combat ?
Notre combat vise à redonner à la COJER son attractivité et son dynamisme afin de répondre aux attentes de notre leader le Président Macky Sall. Nous allons faire un diagnostic de la situation actuelle de la structure avant d’entamer des réformes.
Le défi, c’est de redonner confiance à la jeunesse républicaine sur le plan collectif et individuel tout en cicatrisant les blessures. Il faut remobiliser, remotiver et réorienter les jeunes sur l’objectif fondamental, la réélection du président Macky Sall dès le premier tour en 2019.
Nous avons réfléchi à un projet d’encadrement et de mobilisation des primo-votants et à d’autres actions concrètes à la base qui permettront à la jeunesse d’assurer la réélection du Président Macky Sall. Voilà le sens de notre combat.
Nous avons d’ailleurs dans ce sens envoyé une lettre d’information au
Vous êtes Economiste, que pensez-vous de la situation actuelle du pays ? Sommes-vous vraiment engagés dans le chemin qui mène vers l’émergence ?
La situation actuelle du pays est reluisante. Les indicateurs économiques le démontrent à suffisance. La croissance est à plus de 6% depuis plus de trois ans, ce qui est une tendance réconfortante. Pour la première fois depuis une bonne dizaine d’années, le pays sort la tête de l’eau.
Les disparités économiques et sociales entre le monde rural, la capitale et les villes sont en train d’être résorbées grâce au PUDC, au PUMA et aux autres investissements portés par les ministères et agences gouvernementales. Ces zones vont davantage participer à la création de richesse.
Le Gouvernement est en train également de mettre en place des infrastructures structurantes qui vont booster le développement économique du pays. Le contexte réglementaire et politique est devenu plus favorable pour attirer des investissements qui créent de l’emploi et de la valeur.
Si les tendances actuelles se maintiennent, le pays ira vers l’émergence plus tôt que prévu. Il s’y ajoute que les futurs revenus du gaz et du pétrole vont permettre d’accélérer de façon exponentielle les investissements dans tous les secteurs. Les multinationales ont compris cette tendance et se positionnent de plus en plus dans notre pays. Il faut que le secteur privé national soit plus agressif économiquement afin de capter les opportunités futures. Les jeunes doivent aussi faire
preuve d’imagination et de créativité pour participer pleinement avec des projets novateurs à la marche du pays. Il faut donc encourager et soutenir le Président Macky Sall, un homme politique moderne et pragmatique pour que tout cet espoir devienne réalité.
Les marges de manœuvre du gouvernement Sonko seront très limitées, (Lansana G Sakho)
