Vous étiez le député libéral des sénégalais de l’extérieur. Aujourd’hui, vous montrez votre disponibilité à travailler pour le Président Macky. N’est-ce pas que vous aviez signé la pétition pour son départ à la présidence de l’Assemblée Nationale ?
C’est faux ! Je dois signaler que lors de la campagne pour la signature de la dite pétition, j’étais hors du territoire national, en mission au Rwanda, avec des collègues députés comme Chérif El Walid Diop, Madame Oumou Sow et Assane Diagne .C’était dans le cadre des ACP. J’avais reçu un sms du Président Doudou Wade pour la parapher. J’y avais opposé un niet catégorique. Par ce que j’ignorais d’un bout à l’autre les réelles motivations d’un tel acte. C’étai cependant le 3ème appel que le Président de notre groupe parlementaire d’alors m’a reçu dans son bureau en présence de sa secrétaire Mme Mbodj. A ma place, on avait déjà signé. Ce que je récusais. Mais, Doudou Wade avait dit que c’était une erreur.
Et finalement, est-ce que vous l’aviez signée, cette pétition contre Macky?
Je disais que je ne pouvais la faire par ce que marquée du sceau de l’illégalité. Je n’avais pas les raisons valables. Je leur disais que Macky n’a rien fait et on m’avait traduit en commission de discipline. Je ne cautionnais cette campagne haineuse, cette mascarade politique et politicienne. Les chefs d’accusations avancées étaient nulles et non avenues, sans fondement aucun.
Et le Président Wade, est ce que vous l’aviez écrit pour lui désiller les yeux ?
Des personnes goulues de pouvoir avaient toujours constitué un écran de fumée entre le Président Me Abdoulaye Wade et les vrais diseurs de vérité. Par exemple, lors des assises nationales, j’avais dit à mes frères libéraux d’aller y participer. On ne devait pas laisser l’opposition seule occuper ce terrain. On ne devait pas les donner l’opportunité de se regrouper. Vous voyez, ca a été fatal à nous. En sus, Abdoulaye Faye m’avait amené un jour chez Wade. Ce dernier, rouge de colère, m’avait : Amadou, on dirait que tu es contre la GOANA. C’était en présence de Babacar Gaye. Il y avait une machination de guerre ourdie contre ma personne, seulement par ce que je ne voulais cautionner une forfaiture.
Vous êtes un nouveau recru au sein de l’APR. Les locales se pointent à l’horizon. Etes-vous prêt à mouiller le maillot pour l’actuel homme fort du pays ?
Aujourd’hui, mon entrée à l’APR ne fait plus de doute. Ma base politique, c’est bien à Ngoudjilone, dans le Matam. Je vais me battre pour le triomphe de ce parti dans mon terroir, en 2014.Macky Sall est un Président jeune, débordant d’ambitions. Si on l’épaule, il peut mener le Sénégal vers les berges de l’abondance, de la prospérité.
C’est faux ! Je dois signaler que lors de la campagne pour la signature de la dite pétition, j’étais hors du territoire national, en mission au Rwanda, avec des collègues députés comme Chérif El Walid Diop, Madame Oumou Sow et Assane Diagne .C’était dans le cadre des ACP. J’avais reçu un sms du Président Doudou Wade pour la parapher. J’y avais opposé un niet catégorique. Par ce que j’ignorais d’un bout à l’autre les réelles motivations d’un tel acte. C’étai cependant le 3ème appel que le Président de notre groupe parlementaire d’alors m’a reçu dans son bureau en présence de sa secrétaire Mme Mbodj. A ma place, on avait déjà signé. Ce que je récusais. Mais, Doudou Wade avait dit que c’était une erreur.
Et finalement, est-ce que vous l’aviez signée, cette pétition contre Macky?
Je disais que je ne pouvais la faire par ce que marquée du sceau de l’illégalité. Je n’avais pas les raisons valables. Je leur disais que Macky n’a rien fait et on m’avait traduit en commission de discipline. Je ne cautionnais cette campagne haineuse, cette mascarade politique et politicienne. Les chefs d’accusations avancées étaient nulles et non avenues, sans fondement aucun.
Et le Président Wade, est ce que vous l’aviez écrit pour lui désiller les yeux ?
Des personnes goulues de pouvoir avaient toujours constitué un écran de fumée entre le Président Me Abdoulaye Wade et les vrais diseurs de vérité. Par exemple, lors des assises nationales, j’avais dit à mes frères libéraux d’aller y participer. On ne devait pas laisser l’opposition seule occuper ce terrain. On ne devait pas les donner l’opportunité de se regrouper. Vous voyez, ca a été fatal à nous. En sus, Abdoulaye Faye m’avait amené un jour chez Wade. Ce dernier, rouge de colère, m’avait : Amadou, on dirait que tu es contre la GOANA. C’était en présence de Babacar Gaye. Il y avait une machination de guerre ourdie contre ma personne, seulement par ce que je ne voulais cautionner une forfaiture.
Vous êtes un nouveau recru au sein de l’APR. Les locales se pointent à l’horizon. Etes-vous prêt à mouiller le maillot pour l’actuel homme fort du pays ?
Aujourd’hui, mon entrée à l’APR ne fait plus de doute. Ma base politique, c’est bien à Ngoudjilone, dans le Matam. Je vais me battre pour le triomphe de ce parti dans mon terroir, en 2014.Macky Sall est un Président jeune, débordant d’ambitions. Si on l’épaule, il peut mener le Sénégal vers les berges de l’abondance, de la prospérité.
Ndiolé, "diamant" à l'état brut
