Vous souvenez-vous d'Elizabeth Raine, cette étudiante en médecine américaine de 28 ans qui avait décidé de vendre sa virginité aux enchères. Et bien cette dernière est finalement revenue sur sa décision. Ce ne sont pas les attaques et critiques qu'elle a subies, la traitant de prostituée (pour les plus gentilles) qui lui ont fait changer d'avis.
La jeune femme, parfaitement consciente de la portée de son acte et qui trouvait que perdre sa virginité de cette manière était "fantastique", revendique le droit légitime de l'appropriation et l'utilisation de son corps comme elle l'entend.
Pourtant, mercredi la clôture des enchères dévoilait un candidat prêt à débourser environ 801.000 dollars, soit 578.000 euros pour dépuceler l'étudiante, et alors que la jeune femme en attendait environ 300.000 (€), elle a contre toute attente, refusé l'offre.
Coup de bluff ?
A t-elle pris peur de l'ampleur de son acte ou de ce qui l'attendait ? Apparemment non. Si l'Américaine a refusé une donation aussi généreuse alors qu'elle comptait en reverser une partie à une oeuvre caritative, c'est parce que pour elle, "l'école prime. Pour l'instant, je ne participe tout simplement plus aux enchères. C'est très simple".
Simple ? Peut-être pas autant qu'elle ne veut l'avouer. Au tout début de son initiative la jeune fille désirait gardait l'anonymat de son visage, puis par manque de donations, elle avait décidé de le révéler faisant grimper dans le même temps les enchères. Aurait-elle été dépassée par la tournure des événements ? C'est une hypothèse crédible, mais vu la manière avec laquelle Elizabeth Raine a répondu aux nombreuses critiques et (...)
La jeune femme, parfaitement consciente de la portée de son acte et qui trouvait que perdre sa virginité de cette manière était "fantastique", revendique le droit légitime de l'appropriation et l'utilisation de son corps comme elle l'entend.
Pourtant, mercredi la clôture des enchères dévoilait un candidat prêt à débourser environ 801.000 dollars, soit 578.000 euros pour dépuceler l'étudiante, et alors que la jeune femme en attendait environ 300.000 (€), elle a contre toute attente, refusé l'offre.
Coup de bluff ?
A t-elle pris peur de l'ampleur de son acte ou de ce qui l'attendait ? Apparemment non. Si l'Américaine a refusé une donation aussi généreuse alors qu'elle comptait en reverser une partie à une oeuvre caritative, c'est parce que pour elle, "l'école prime. Pour l'instant, je ne participe tout simplement plus aux enchères. C'est très simple".
Simple ? Peut-être pas autant qu'elle ne veut l'avouer. Au tout début de son initiative la jeune fille désirait gardait l'anonymat de son visage, puis par manque de donations, elle avait décidé de le révéler faisant grimper dans le même temps les enchères. Aurait-elle été dépassée par la tournure des événements ? C'est une hypothèse crédible, mais vu la manière avec laquelle Elizabeth Raine a répondu aux nombreuses critiques et (...)
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