Le colonel Abdoul Karim Traoré a d’abord travaillé comme expert militaire et juriste aux côtés de la médiation burkinabé en Côte D’Ivoire. Il était l’un des hauts fonctionnaires du bureau du représentant spécial du Facilitateur Blaise Compaoré à Abidjan dans l’Accord de Ouagadougou signé en 2007 entre les différentes parties ivoiriennes auprès de l’ex-ministre Boureima Badini.
Le colonel Abdoul Karim Traoré était sollicité à la fois pour ses compétences en droit et les questions militaires. Son implication supposée dans le coup d’Etat a-t-il un lien avec le colonel Sidi Paré, le ministre de la sécurité limogé récemment après avoir été nommé seulement environ deux mois avant.
Les observateurs se posent la question. Certes, aucune explication officielle n’a été donnée par les autorités sur ce limogeage. Mais des sources bien introduites, parlent de l’attitude bien ambiguë du colonel Paré pendant le putsch du 16 septembre.
Après avoir été libéré le matin du 17 septembre avec ses collègues du gouvernement pris en otage par les soldats du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), Sidi Paré se serait mis à la disposition des putschistes après avoir aussi pris soin d’enfiler sa tunique d’officier. Le point commun entre les deux hommes, c’est qu’ils sont tous les deux magistrats militaires.
Le colonel Abdoul Karim Traoré était sollicité à la fois pour ses compétences en droit et les questions militaires. Son implication supposée dans le coup d’Etat a-t-il un lien avec le colonel Sidi Paré, le ministre de la sécurité limogé récemment après avoir été nommé seulement environ deux mois avant.
Les observateurs se posent la question. Certes, aucune explication officielle n’a été donnée par les autorités sur ce limogeage. Mais des sources bien introduites, parlent de l’attitude bien ambiguë du colonel Paré pendant le putsch du 16 septembre.
Après avoir été libéré le matin du 17 septembre avec ses collègues du gouvernement pris en otage par les soldats du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), Sidi Paré se serait mis à la disposition des putschistes après avoir aussi pris soin d’enfiler sa tunique d’officier. Le point commun entre les deux hommes, c’est qu’ils sont tous les deux magistrats militaires.
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